Les détournements d’avions attirent notre attention sur l’importance de s’attaquer au problème du terrorisme de manière spécifique par la prière. Voyager, pour certains, est un grand sujet d’inquiétude. Y a-t-il des endroits plus sûrs que d’autres? Sommes-nous toujours à la merci de la chance, de l’heure, des circonstances?
Il y a quelques années, nous voyagions, mon mari et moi, un été, dans un pays d’Europe où des terroristes menaçaient presque quotidiennement de faire exploser des trains et des gares. Alors que nous montions dans un train, j’ai confié mon inquiétude à mon mari, lui disant qu’il semblait que la situation échappait à tout contrôle et que nous pourrions sauter à tout moment. Il me fit gentiment remarquer que je m’étais sentie parfaitement en sécurité dans le pays que nous venions de quitter, parce que la langue et les coutumes étaient similaires aux nôtres. Je vis qu’il fallait que les choses soient bien claires dans mon esprit quant à mon droit divin à la sécurité ainsi qu’à celui de tous les hommes.
Il n’était pas question d’être plus en sécurité dans un pays que dans un autre ou dans tel moyen de transport plutôt que dans tel autre. Il fallait comprendre qu’il n’y a qu’un seul Dieu, un Entendement divin, qui garde le contrôle sur Sa création. Je devais voir que, quelle que soit la situation, l’homme de Dieu — ce qui est en fait l’identité de nous tous — est incapable de détruire ou d’être détruit. J’ai prié pour voir que l’amour de Dieu et de l’homme, non la haine, était la loi de l’être en opération. Comme je priais, toute crainte de voyager me quitta et notre voyage fut harmonieux.
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