Il y a plusieurs années, alors que je travaillais comme reporter pour un journal de province, je passai un certain temps à préparer un article sur la pauvreté rurale dans notre région. Ce faisant, je rencontrai une mère de famille qui vivait des allocations familiales et qui fut l’une de mes principales sources d’information. Quelques années plus tard, cette femme et moi nous nous rencontrâmes de nouveau, mais dans des conditions différentes. Cette fois, il s’agissait d’une situation très grave qui comprenait policiers et armes à feu.
Entre-temps, j’avais cessé journaliste à plein temps et j’étais retournée à l’université. Un après-midi, j’étais à la maison et je révisais pour un examen quand une amie me téléphona pour me dire qu’un « homme armé » occupait le bureau d’aide sociale du quartier. Elle ajouta que la police avait encerclé le bâtiment.
J’appelai le journal pour en informer mon mari, qui y travaillait comme rédacteur. Il me dit qu’il était déjà au courant, aussi retournai-je à mes études. Mais tout d’abord, je priai et affirmai que cet individu était en réalité l’enfant parfait de Dieu. Je reconnus aussi que le mal est irréel et donc dépourvu du pouvoir de nuire en aucune façon. C’était comme si Dieu me préparait pour ce qui allait arriver par la suite.
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