L’enfant prodigue en moi recherche
La sollicitude aimante du Père ;
Mais le fils aîné en moi se rebelle
et dit: Ce n’est pas juste.
Alors la Vérité ouvre tout grands mes yeux.
Soudain je comprends:
Il n’y a
Qu’un seul fils,
Ni prodigue, ni aîné
Pour mettre en question ce qui m’appartient.
J’entends la tendre voix de l’Amour:
« Tout ce que j’ai est à toi. »
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