Posez-vous cette question: « Ai-je fait part de la Science Chrétienne à quelqu'un aujourd'hui ? »
« Un-pour-un » est un programme d'action mis en œuvre en novembre 1969 par le Département Filiales et Praticiens de L'Église Mère. Son but est d'aider chaque Scientiste Chrétien à détecter et à atteindre la pensée sans préjugés des gens qu'il rencontre pendant la journée.
Charles Louis Reilly, Directeur de ce département, reçoit chaque jour des rapports qui réjouissent le cœur et qui montrent, exactement au dire de Mrs. Eddy, que « des millions d'esprits sans préjugés qui cherchent la Vérité en toute simplicité, voyageurs fatigués et altérés dans le désert, attendent en guettant le repos et le boire », et que nous pouvons leur donner « un verre d'eau froide au nom du Christ, et ne [craindre] nullement les conséquences de [notre] bonne action ». Science et Santé, p. 570.
Une dame et son mari eurent une occasion exceptionnelle de parler de la Science Chrétienne lors d'une réunion de ses anciens camarades de classe. Voici ce qu'elle écrit: « Chaque ancien élève fut prié de se lever et de dire où il habitait et quel était son occupation. Mon mari dit qu'il travaillait pour l'organisation de l'église de la Science Chrétienne. Les mots Science Chrétienne eurent un effet magique. Pendant les deux heures qui suivirent, nous fûmes occupés à répondre aux questions posées par des médecins, des avocats, des hommes d'affaires et des professeurs. Une dame cherchait une nouvelle religion et nous pûmes la guider vers une Salle de Lecture. »
Il y a quelque temps, cette Scientiste présenta la Science Chrétienne à plusieurs voisins. Une de ces personnes accepta un exemplaire de Science et Santé de Mrs. Eddy et une autre s'abonna au Christian Science Monitor. Plus tard son coiffeur lui demanda si elle était Scientiste Chrétienne. « Je lui dis que oui. Il répondit: “Je le pensais bien.” » Quand il demanda des explications sur la guérison spirituelle, elle lui donna la brochure « Précisions sur la Science Chrétienne » et plus tard elle lui envoya une invitation à une conférence. « Mon mari et moi avons découvert dans nos contacts avec autrui que beaucoup de gens cherchent sincèrement la vérité, dit-elle pour terminer. Nous devons agir avec souplesse, étant donné que chaque situation doit être abordée de manière différente. »
Une autre Scientiste Chrétienne écrit qu'elle désirait tant trouver ces « millions d'esprits sans préjugés », mais qu'elle ne savait tout simplement pas comment s'y prendre. Puis elle se rendit compte qu'ils étaient à l'endroit même où elle se trouvait, qu'elle pouvait en être consciente, que l'occasion était là, à sa portée. Quel en fut le résultat ? En une année elle communiqua le message fondamental de la Science Chrétienne à plus de deux cents personnes, en taxi, en autobus, dans les magasins, à la maison.
L'emploi qu'elle avait lui donna l'occasion de travailler avec des immigrants, y compris beaucoup de personnes d'Europe de l'Est. Elle distribua vingt et un exemplaires de Science et Santé en différentes langues, dix exemplaires des œuvres de Mrs. Eddy Rudiments de la Science divine et Non et Oui en tchèque, en polonais et en japonais, cinq exemplaires de La Science Chrétienne: un siècle de guérisons et un grand nombre de périodiques.
Cette même Scientiste Chrétienne a servi de guide dans New York à deux groupes de Japonais et de Français. Comme elle leur montrait les églises importantes se trouvant sur le parcours de l'autocar, elle leur signala également une filiale de l'Église du Christ, Scientiste, et leur dit que c'était une religion unique qui avait pris naissance en Amérique. « Il me semblait naturel de leur dire quelques mots sur la Science Chrétienne, sur Mrs. Eddy, sa Découvreuse et Fondatrice, et de faire connaître l'idée de la guérison spirituelle », dit-elle.
Par la suite, un assez grand nombre de gens lui firent part de tout le bien qui s'était déroulé dans leur vie après qu'elle les eut encouragés à étudier sérieusement la Science Chrétienne. Un Polonais fut extrêmement heureux de recevoir quelques publications. Il avait passé quatre ans dans un camp de concentration nazi et aspirait à quelque chose qu'il pouvait croire et comprendre. « Je me souviens d'un Roumain à qui je donnai Science et Santé. » Il y eut aussi cet homme qui vint chez elle pour nettoyer ses tapis et qui avait « une idée bien piteuse de lui-même. » Ils eurent une bonne conversation et il s'en alla en emportant quelques Christian Science Sentinels et Journals.
« Je trouve que cette formule “Un-pour-un” me permet vraiment d'atteindre les gens », dit-elle pour conclure.
Allez par tout le monde,
et prêchez
la bonne nouvelle
à toute la création.
Marc 16:15
