Ne rôdez pas autour de moi,
Ne me causez aucun émoi,
Pensées de nature paresseuse ;
Vous ne pouvez me rendre heureuse.
Ne cherchez pas à m'envoûter,
Je saurai vous désarçonner,
Je vous interdirai la route
Et vous mettrai toutes en déroute ;
La Vérité est là
Qui vous rejettera.
Ainsi nous détectons
Toute contrefaçon
Que le malin apporte.
Sur le seuil de la porte
Soyons prêts à crier:
« C'est moi qui te l'ordonne,
Même si tu claironnes,
Je te défends d'entrer... »
Là, dans le sanctuaire
Qui appartient au Père,
Où l'homme a toujours habité,
Où l'erreur ne peut l'effleurer,
C'est là qu'il sert à Son autel
Pour la vie qui est éternelle.
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