En hommage de la guérison-Entendement de la Science Chrétinnie j'aimerais ajouter mon témoignage.
Il y a de cela un certain nombre d'années, une marque apparut sur mon visage. Elle était petite aussi n'y prêtai-je pas grande attention. Toutefois, avec le temps, la marque se développa et il devint évident que je devais faire face à l'erreur. Bien que j'élevasse ma pensée vers la vérité de l'être spirituel et immortel, la difficulté physique ne semblait pas céder.
Un jour, lors d'une réunion entre amis, je rencontrai un docteur en médecine. Il me demanda si je me faisais soigner. Je répondis affirmativement. Cette question me fit prendre conscience que je devais faire davantage confiance à la Vérité. A quelque temps de là, je faisais des livraisons à domicile et dus m'arrêter à un cabinet médical. Le médecin aperçut immédiatement la marque sur mon visage et me dit: « C'est sérieux »; il me conseilla de voir un certain spécialiste. Je le remerciai et lui dis que je suivais un traitement.
Je persistai à m'appuyer sur l'omnipotence de Dieu, sachant qu'il avait fait l'homme à Son image et à Sa ressemblance, que l'homme ne pouvait pas être vaincu par une difficulté physique quelle qu'elle soit, puisque cette difficulté ne faisait pas partie de la création divine, et que, par conséquent, elle n'existait pas en réalité. Bien que ce travail arrêtât efficacement la douleur et l'inflammation, la manifestation visible de l'erreur n'en était pas vaincue pour autant.
A nouveau, je me trouvai en compagnie d'un autre médecin. Sans que je lui eusse rien demandé, il me conseilla de me faire opérer immédiatement et ajouta que la guérison serait difficile car la marque se trouvait placée sous l'œil.
Bien que le diagnostic eût révélé qu'il s'agissait d'un cancer de la peau, je restai calme et m'attachai fermement à ces paroles de Mrs. Eddy dans Miscellaneous Writings (p. 2 77): «Aucune évidence devant les sens matériels ne peut m'empêcher de discerner la preuve scientifique que Dieu, le bien, est suprême. »
Je fus élu au poste de Premier Lecteur, dans une église filiale, lorsque le titulaire se trouva dans l'impossibilité d'assumer ses fonctions jusqu'à l'expiration de son mandat. A première vue, il ne semblait pas sage d'accepter ce poste puisque la difficulté physique n'était pas guérie. Mais en y réfléchissant, je vis là une occasion qui m'était offerte de montrer à tous le pouvoir qu'a l'Entendement divin de guérir toutes sortes de maladies quelles qu'elles soient. Je devins certain que Dieu ne perd jamais un seul cas, et j'acquis la ferme conviction que Sa promesse était vraie (Ésaïe 55:11): «Ainsi en est-il de ma parole, qui sort de ma bouche: elle ne retourne point à moi sans effet, sans avoir exécuté ma volonté et accompli mes desseins. » La guéri- son fut complète et a été permanente.
Je suis profondément reconnaissant à Dieu pour cette guérison et pour beaucoup d'autres; pour Mrs. Eddy qui présenta à cet âge, le Christ, la Vérité, dans un langage compréhensible ce qui permet aujourd'hui d'opérer des guérisons par l'Entendement; enfin pour les praticiens et leur aide fidèle et affectueuse. Je suis également reconnaissant d'avoir suivi le cours d'instruction et d'avoir le privilège de servir la cause de la Science Chrétienne. Notre quotidien international, The Christian Science Monitor, et tous les autres périodiques de la Science Chrétienne sont aussi des sujets de reconnaissance.
Fincastle (Virginie), U.S.A.