Il y a environ deux ans, en été, je jouais au baseball sur le terrain réservé à la police. En pleine action, je fus atteint au visage par une de ces balles si dures. A la seconde même, je sus la vérité en ce qui me concernait; je sus que j'étais parfait et, qu'avec Dieu, la souffrance n'existait pas. Quelques-unes des idées dont je me servis et qui m'aidèrent le plus se trouvent dans Science et Santé où Mrs. Eddy répond à la question: « Qu'est-ce que l'homme? » en ces termes (p. 475): « L'homme n'est pas matière; il n'est pas composé de cerveau, de sang, d'os, et d'autres éléments matériels. »
Je saignais abondamment du nez et me rendis en marchant jusqu'au commissariat de police afin de m'y laver. Un des agents qui étaient de service me dit: « Vous feriez mieux d'aller à l'hôpital parce que vous avez le nez cassé », mais je répondis: « Non, je suis un Scientiste Chrétien, je veux rentrer chez moi. Ma mère saura ce qu'il y aura lieu de faire. »
La police me raccompagna chez moi et, en chemin, je songeais à l'Oraison dominicale que nous a donnée Christ Jésus et à « l'exposé scientifique de l'être » qui se termine par ces mots: « L'Esprit est Dieu, et l'homme est Son image et Sa ressemblance. Donc, l'homme n'est pas matériel; il est spirituel » ( Science et Santé, p. 468). Rentré chez moi, ma mère téléphona à une praticienne de la Science Chrétienne qui commença à m'aider immédiatement par la prière.
Dès ce soir-là mon nez avait repris sa forme normale, mais l'arête en était encore toute tuméfiée et décolorée, tout comme l'un de mes yeux. En quelques jours l’enflure se résorba et bientôt toute décoloration disparut également.
Il y a cinq ans, j’eus une autre occasion d’utiliser la puissance curative de la Science Chrétienne. On entendait beaucoup paler de la varicelle, et, au collège, bon nombre d’élèves avaient été atteints. J’avais omis de faire mon travail de protection et l’erreur m’attaqua. Tout le monde, au collège, me dit que je serais absent pendant une quinzaine de jours, mais je pris mentalement le contrepied de ces prédictions. Nous avons alors, mes parents et moi, travaillé et prié en nous basant sur le fait que l’homme est l’image et la ressemblance de Dieu et que la maladie, l’erreur, ne peut l’atteindre. En deux jours, j’étais tout à fait bien.
Je pourrais ainsi continuer indéfiniment avec les guérisons et autres occasions que j’aieues j’ai eues en Science Chrétienne. Je suis très reconnaissant d’être un étudiant de la Science Chrétienne, un membre de L’Église Mère et un élève de l’École du Dimanche d’une église filiale. Je suis sincèrement reconnaissant pour la Science Chrétienne.
Havertown (Pennsylvanie), U.S.A.