Dans le monde scientifique d’aujourd’hui, hommes de science, technologues et médecins cherchent à trouver la cause fondamentale de chaque effet afin d’essayer de contrôler les causes et d’arriver ainsi à régler les effets. Psychologues aussi bien que physiologistes ont jugé que bon nombre d’effets matériels résultent de causes mentales et les médecins ont vu dans cette conclusion un moyen de traiter leurs malades. Cependant, il faut comprendre que la Science Chrétienne va beaucoup plus loin dans la question de la causation.
Il est exact que la cause d’une maladie se trouve dans la pensée du malade: elle fait partie de la croyance que l’homme est mortel et qu’il est sujet à la crainte. Un tel mode de penser s’appuie sur la supposition erronée que la vie et l’intelligence existent dans la matière, et que cette conscience matérielle ou entendement mortel constitue la cause première de l’être. Le Scientiste Chrétien comprend que la cause première, et seule cause réelle, est Dieu, l’Entendement divin qui ne cause que du bien. Suite au raisonnement scientifique basé sur cette vérité, les croyances erronées sont corrigées, la conscience du patient est débarrassée de ses pensées malsaines et les maux physiques sont guéris.
Dans Science et Santé Mrs. Eddy écrit: « La causation spirituelle est l’unique question à considérer, car plus que toute autre question, la causation spirituelle a trait au progrès humain. » Science et Santé, p. 170; Bien des chercheurs ont le sentiment que toute cause est matérielle, mais la Science Chrétienne se base sur des prémisses exactement contraires. Son raisonnement plus profond est en accord avec la Bible. Au premier chapitre de la Genèse on trouve que Dieu a créé tout et que « cela était très bon ». Gen. 1:31; Ainsi tout effet véritable est attribuable à cette cause divine. Sur base du raisonnement fondamental suivant, le Scientiste Chrétien construit toute sa logique et toute sa compréhension de l’existence: « Il n’y a qu’une cause première. Donc il ne peut y avoir d’effet d’aucune autre cause, et il ne peut y avoir de réalité en quoi que ce soit qui ne procède pas de cette grande et unique cause. » Science et Santé, p. 207;
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