En 1950, un de nos jeunes fils tomba malade. Je reconnus rapidement les symptômes de la poliomyélite, dont on faisait à l’époque grande publicité et qui était décrite en détail dans les journaux de la région où nous habitions.
Je me mis à prier à ce sujet, mais j’avais tellement de crainte que je demandai de l’aide à une praticienne de la Science Chrétienne. Elle se rendit compte de mon anxiété, et après quelques instants de conversation, elle me dit: « Qu’est-ce qui vous effraie donc tant ? » A ce point, j’avais tant d’appréhension que je pus à peine murmurer le mot « polio » au téléphone. Je n’oublierai jamais sa réponse immédiate. Elle dit avec force: « C’est un mot de crainte dans l’entendement mortel. Dieu ne le connaît pas, et vous n’en avez pas peur. »
J’eus immédiatement une immense sensation de délivrance de la crainte, et un sentiment d’assurance et de confiance emplit ma pensée. Le traitement en Science Chrétienne fut entrepris, et mon mari et moi continuâmes à prier comme on nous enseigne à le faire en tant qu’étudiants de la Science Chrétienne.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !