C'est avec une sincère reconnaissance que je rends témoignage d'une guérison...

C'est avec une sincère reconnaissance que je rends témoignage d'une guérison obtenue de la Christian Science. Je souffrais d'une pleurésie et d'une pneumonie. Comme je m'intéressais à la Christian Science depuis quelque temps et qu'elle m'avait apporté de nombreux bienfaits, je demandai à une praticienne de me traiter, ce qu'elle fit avec grande patience et bonté. La guérison ne fut pas rapide, car je n'avais pas été vigilante à la porte de ma pensée, et, durant la guerre, avais permis à la propre volonté, à la crainte et aux soucis d'y entrer. La fièvre me quitta immédiatement après le premier traitement, mais la toux et la faiblesse extrême persistèrent. Ce ne fut qu'après avoir saisi la signification du mot “vent,” dont la définition est donnée à la page 597 du livre de texte de la Christian Science, “Science et Santé avec la Clef des Écritures” de Mary Baker Eddy, et après avoir eu conscience qu'en l'Esprit il n'y a pas de mal, que je vis mon état s'améliorer. La faiblesse me quitta, car “ceux qui mettent leur confiance en l'Éternel prennent de nouvelles forces.” De même, la crainte et les soucis disparurent à la lumière nette de la connaissance que Dieu est la source de notre subsistance et que nous ne dépendons pas de personnes. Aujourd'hui je sais que l'Amour divin pourvoit à tous les besoins humains. Pour cette compréhension je suis profondément reconnaissante envers Dieu et envers notre Leader.

Je désire aussi exprimer mon appréciation de la traduction du livre de texte dans la langue allemande, ainsi que des beaux articles qui paraissent dans le Herold der Christian Science, articles qui m'ont bien souvent secourue. Je cherche chaque jour à mieux connaître Dieu; je sais que par l'étude de la Christian Science j'acquerrai une meilleure compréhension, et mon désir d'apporter le secours à autrui se réalisera. (Mlle.) Anna Retzlaff, Berlin, Allemagne.

Au témoignage donné ci-dessus, je désire ajouter l'expression de ma gratitude pour les nombreux bienfaits que notre famille a eu le privilège de recevoir. Au cours de l'été de 1917, ma mère, âgée de quatre-vingt-un ans, eut une enflure d'une glande du cou. Je le remarquai quand elle atteignit la grosseur d'un pois, et la crainte m'envahit immédiatement. Au lieu de nier le témoignage des sens, j'en parlai à ma sœur, et nous vîmes avec appréhension la grosseur s'accentuer. Alors nous demandâmes le secours d'une praticienne de la Christian Science. L'enflure était ferme et de la grosseur d'un œuf de pigeon, mais ma mère ne ressentit aucune douleur, ce dont nous sommes spécialement reconnaissantes. Après plusieurs traitements la glande s'ouvrit d'elle-même. A cette même époque nous apprîmes qu'une de nos connaissances avait eu un mal semblable, mais elle n'eut pas le traitement de la Christian Science; elle souffrit beaucoup, subit une opération et finalement mourut.