
Témoignages
Quand j’étais au cours élémentaire, je ne comprenais pas grand-chose aux mathématiques. Un jour, j’ai complètement raté un contrôle.
Mon mari et moi sommes de la cinquième génération de Scientistes Chrétiens dans notre famille. Cela signifie que depuis près de cent ans, des membres de notre famille s’en sont remis entièrement à Dieu pour leur santé.
En 1979, nous avons déménagé dans une nouvelle maison. Plusieurs mois après, mon épouse me demanda de prier au sujet de notre maison.
Vers la fin de l’automne 1983, il me fut soudain impossible de lever le bras gauche sans éprouver une douleur intense au sommet de l’épaule. Il me devint impossible de m’habiller, de conduire ma voiture et de me coucher pour dormir le soir.
J’avais dix-huit ans lorsque j’allai pour la première fois à l’École du Dimanche de la Science Chrétienne, et les nouvelles idées qui y furent présentées me plurent beaucoup. Ainsi, pendant deux ans (jusqu’à l’âge de vingt ans, auquel on n’est plus admis à l’École du Dimanche), j’y assistai régulièrement, accomplissant près de quatre-vingts kilomètres pour me rendre à l’église la plus proche.
C’est avec la gratitude et la joie incommensurables d’avoir été guidé vers la Science Chrétienne Christian Science (´kristienn ´saïennce) que j’offre ce témoignage, comme preuve des fruits que l’on peut retirer de l’étude et de la mise en pratique de ces enseignements. Nombreuses sont les preuves du pouvoir qu’a Dieu de guérir les difficultés, que moi-même, ainsi que ma femme et nos enfants, avons eues pendant plusieurs années.
Mon premier témoignage a paru dans le Christian Science Sentinel du 10 avril 1954. Je suis maintenant octogénaire‚ toujours libre et en bonne santé‚ grâce à la mise en pratique des glorieux enseignements de la Science Chrétienne‚ et je pense qu’il est temps d’exprimer une fois encore ma gratitude par écrit.
J’ai rencontré la Science Chrétienne il y a environ sept ans. Je venais d’abandonner mes études‚ pensant qu’il n’y avait aucune raison de continuer.
« Sur les dix lépreux que Jésus guérit‚ un seul revint pour rendre grâce à Dieu‚ c’est-à-dire pour reconnaître le Principe divin qui l’avait guéri » ( Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mary Baker Eddy‚ p. 94).
Je suis heureuse de confirmer la magnifique guérison que j’ai eue dans mon enfance. Même en ce temps-là, je me suis rendu compte que je n’avais pas été guérie par une personne, mais que c’était Dieu qui m’avait guérie.