Je désire ajouter mon témoignage de gratitude pour la Science Chrétienne à celui de ma femme, et confirmer la véracité des événements qui entourèrent la naissance de notre fille aînée. Cette guérison représente un jalon spirituel dans ma vie, un rocher auquel s’accrocher, un rappel constant de la puissance de Dieu. La guérison de notre fille aînée m’a aidé à voir que Dieu est « un secours qui ne manque jamais dans la détresse » comme nous le promettent les Psaumes (46:2).
Mon existence a été marquée par une guérison physique merveilleuse: celle de maux de reins. Pendant vingt-cinq ans et plus, j’avais eu le bas du dos fragile. Cela ne m’avait pas empêché de fournir de gros efforts ni de servir dans l’Armée pendant deux ans. Mais dans les années qui suivirent mon service militaire, la difficulté s’intensifia au point qu’un travail de force, comme le bêchage prolongé du jardin, me laissait littéralement plié en deux pendant des heures et me faisait souffrir pendant des semaines. Pendant ces années, un simple éternuement causait des douleurs qui me forçaient à m’accrocher à quelque chose pour rester debout.
Je ne parlai jamais de cela à personne et je le dissimulai suffisamment pour que seule ma femme en eût connaissance. Pendant cette longue période — en dépit de ce que le faux témoignage des sens voulait me dire chaque jour, année après année — je priai sincèrement pour comprendre que j’étais l’enfant parfait de Dieu, droit, fort et libre.
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