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[Original en français]

J'aimerais exprimer ma gratitude pour une guérison d'un défaut...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’août 1987


J'aimerais exprimer ma gratitude pour une guérison d’un défaut de la vue qui s’est produite en moi il y a plusieurs années. Lors de ma première visite aux États–Unis, j’ai connu la Science Chrétienne qui m’a donné une nouvelle compréhension de Dieu, de la Vie divine. La Science Chrétienne a complètement transformé ma façon de voir. J’ai appris que l’homme réel n’est pas voué à la souffrance ni aux limitations.

A l’époque de ce séjour, je devais porter des lunettes pour lire, et par la suite, pour conduire aussi. En étudiant les Leçons bibliques (indiquées dans le Livret trimestriel de la Science Chrétienne), j’ai compris que voir véritablement est une chose spirituelle. Le Glossaire de Science et Santé de Mary Baker Eddy donne du terme yeux une définition qui commence ainsi (p. 586): « Discernement spirituel — non matériel, mais mental. »

Un jour, l’idée m’est venue qu’en toute logique, selon ce que j’apprenais en Science Chrétienne, je ne devrais pas avoir besoin de lunettes pour bien y voir. Ainsi, les vérités que je découvrais peu à peu sur Dieu et sur l’homme fait à Son image, en étudiant la Bible et Science et Santé, m’ont mise sur la voie de la guérison de ce défaut de la vue.

A un moment donné, au début de mon étude de la Science Chrétienne, je me suis demandé si je devais continuer sur la voie que j’avais choisie — m’en remettre de tout mon cœur à Dieu pour la guérison. Pendant que j’y réfléchissais, les questions suivantes se sont présentées à moi: Est-ce que tu choisis de croire à un univers gouverné par Dieu et à toute la beauté et l’harmonie que tu trouves dans les enseignements de la Science Chrétienne ? Ou bien est-ce que tu veux retourner à une conception du monde où l’homme est mortel, voué au mal et à la maladie ? La question ainsi posée, il m’a semblé évident que je devais continuer à faire confiance à Dieu et à Son pouvoir de guérison qui assurent un salut complet.

J’ai résolu d’être aussi impartiale que possible envers la guérison en Science Chrétienne en mettant de côté mes idées toutes faites ou limitatives sur Dieu et sur l’homme. Pour me soutenir, j’ai trouvé beaucoup de passages dans la Bible et dans Science et Santé, mais le suivant m’a frappée tout particulièrement (Science et Santé, p. 167): « Il n’est pas sage de vaciller et de s’arrêter à mi–chemin, ni de s’attendre à travailler également avec l’Esprit et la matière, avec la Vérité et l’erreur. Il n’y a qu’un seul chemin — savoir Dieu et Son idée — qui mène à l’être spirituel. »

En faisant confiance à Dieu, j’ai appris que je devais résister au désir de mesurer matériellement les progrès de ma vue. J’ai cessé de tester mes yeux en fixant certains objets éloignés pour déterminer si je les voyais bien. Le conseil donné par Mary Baker Eddy dans Science et Santé (p. 445) soulignait très clairement cette idée à mes yeux: « Vous rendez la loi divine de la guérison obscure et sans effet quand vous mettez en balance l’humain avec le divin, ou quand, de quelque façon, vous limitez dans votre pensée l’omniprésence et l’omnipotence de Dieu. »

Ma guérison de la vue s’est avérée complète. Au cours des années, j’ai subi plusieurs examens de la vue aux États-Unis et en France, mon pays d’origine. Il s’agissait là d’examens obligatoires pour l’administration et pour la conduite automobile; tous ont conclu à une vision normale, sans besoin de lunettes.

J’éprouve beaucoup de joie du fait que voir véritablement est une faculté qui découle de Dieu. Avant cette guérison, la lecture était pour moi une tâche pénible. Maintenant, je lis plus que jamais, entre mon étude de la Science Chrétienne et mes études universitaires. J’ai été guérie en même temps d’une conjonctivite dont je souffrais par périodes et pour laquelle je m’étais soignée médicalement pendant quelques années avant d’adopter la Science Chrétienne.

Ces guérisons et bien d’autres — guérisons de rhumes, de douleurs au dos — me sont venues grâce à l’étude et à la prière en Science et par là même, j’ai aussi été délivrée des tensions universitaires et de la crainte des examens. Le soutien que j’ai reçu à la Société de la Science Chrétienne dont j’ai fait partie en France, dans la ville où j’habitais avant d’aller vivre en Amérique, a beaucoup contribué à mes guérisons. Le cours de Science Chrétienne a été un autre pas important dans mon engagement croissant vis-à-vis de la Science Chrétienne. En vérité, les mots sont impuissants à exprimer suffisamment tout ce que je dois à cette Science.


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