Témoignages

Un de nos merveilleux cantiques dit ceci: Dieu réconforte comme une mère aimante: Il sait calmer Ses enfants inquiets, Rendre l'espoir à toute âme souffrante ; Son tendre amour donne à nos cœurs la paix. ( Hymnaire de la Science Chrétienne, n° 174) Un matin de bonne heure, je me réveillai avec d'intolérables maux d'oreilles.

Un après-midi, alors que j'allaitais notre plus jeune enfant, des symptômes de ce que l'on pourrait appeler une infection du sein se manifestèrent. J'avais mal et une forte fièvre, et rapidement le sein devint si sensible qu'allaiter l'enfant était virtuellement impossible.

J'ai eu ma première guérison en Science Chrétienne à une époque où j'étais encore très opposée à ce que je croyais être cette religion. Je m'étais brûlée gravement toute la paume de la main.

Christ Jésus a dit: « Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira » (Jean 8:32). Connaître la vérité de Dieu nous libère de la peur, qui est souvent notre pire ennemi.

Dans notre famille, ce fut la pensée de ma grand-mère qui fut touchée en premier par le pouvoir de guérison du Christ, la Vérité. Elle faisait le ménage chez une famille de Scientistes Chrétiens, et un jour elle eut un gros rhume.

Je suis marié et père de deux enfants, et bien avant de terminer un cours supérieur à l'université, je me suis préparé pour l'étape à venir, c'est-à-dire à trouver un emploi convenable. Je commençai en dressant une liste sur laquelle j'inscrivis, entre autres choses, le genre de travail que je préférerais faire et l'endroit où nous aimerions habiter.

Un jour, à la récréation, on m'a frappé deux fois sur la tête sans faire exprès. Ce jour-là, quand je suis rentré à la maison, je ne me sentais pas très bien.

J’ai eu tout récemment une expérience absolument merveilleuse en Science Chrétienne. Il y avait quatre parties impliquées dans l’affaire: un ministère, deux familles et moi-même.

Avant mon mariage, je partageais un appartement avec deux autres jeunes filles qui n’étudiaient pas la Science Chrétienne. Il y eut une épidémie de grippe et j’allai aider une famille qui en souffrait.

Pendant toute ma carrière d’officier, j’ai souffert d’un mal de reins; je souffrais en général plusieurs jours par mois et je passais souvent le week-end au lit pour me reposer le dos. Au cours de nos fréquents changements de domicile, je devais toujours faire attention à ne pas soulever quelque chose de lourd, sinon je ne pouvais plus bouger pendant un bon moment.