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Avant de trouver la Science Chrétienne*, la vie me semblait vide...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de février 1988


Avant de trouver la Science Chrétienne Christian Science ('kristienn 'saïennce), la vie me semblait vide, dénuée de sens et privée de bonheur. Pendant trois ans, j'avais prié pour être guidé vers une réponse, vers la vraie religion. Je rencontrai alors celle qui devint plus tard ma femme. Elle était Scientiste Chrétienne. Elle me prêta un exemplaire d'un livre intitulé La Science Chrétienne: un siècle de guérison (Boston: The Christian Science Publishing Society, 1971). La lecture de ce livre a marqué pour moi le début d'une vie nouvelle. J'ai commencé l'étude de la Science Chrétienne. J'ai trouvé des réponses aux questions que je m'étais posées pendant des années. Ensuite, j'ai été guéri de tout désir de boire et de fumer rien qu'en lisant des périodiques de la Science Chrétienne. J'ai aussi trouvé un emploi stable.

Je voudrais raconter une guérison que j'ai eue il y a environ huit ans. Un jour, alors que je travaillais sur un camion à sabler municipal, j'allai derrière le véhicule pour arrêter le moteur du sablage. Soudain, le camion se met à avancer. Me précipitant devant pour l'arrêter, je glisse sur la chaussée couverte de neige fondante et je tombe sous le camion. Je réussis en partie à me dégager, mais ma veste se prend sous une roue. Dès que je me rends compte de ce qui se passe, ces deux points d'un passage écrit par Mary Baker Eddy dans Science et Santé avec la Clef des Écritures à propos des accidents me communiquent une calme assurance (p. 424): « Les accidents sont inconnus à Dieu... » et: « dans la perfection, il n'y a pas de place pour l'imperfection ». Soutenu par ces vérités, je me sens paisible, sans aucune inquiétude. Les roues doubles du camion de cinq tonnes passent sur toute la longueur du bras et de la main. Je me relève dès que possible et je parviens à arrêter le camion qui dévale une pente en direction d'un carrefour très passant.

Les blessures sont graves: ma main est très laide à voir et je ne sens plus mon bras. Comme tout cela est arrivé sur mon lieu de travail, il faut qu'un médecin m'examine. On m'emmène à l'hôpital le plus proche. On appelle ma femme à son travail et elle téléphone immédiatement à un praticien de la Science Chrétienne pour me soutenir par la prière. Dès que j'arrive à l'hôpital, un médecin, qui est au courant de ce qui s'est passé, examine mon bras. Il me demande de faire certains mouvements du bras et de la main et, à la façon normale dont je réagis, il se montre surpris et n'en croit pas ses yeux. Environ vingt minutes s'écoulent pendant qu'on prend des radios. Quand le docteur les examine, il secoue la tête. Ma femme lui demande ce qu'il en est et il dit qu'il est in capable de l'expliquer, mais qu'il n'y a, miraculeusement, aucune fracture. Il ajoute que je devrais être gravement blessé.

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