Dans ma jeunesse, j'avais des rapports étroits avec ma grand-mère, une tante et une amie. C'est par leur exemple que j'ai été incitée à devenir Scientiste Chrétienne. Peu de temps après mon mariage, nous sommes devenus, mon mari et moi, membres actifs d'une église filiale et de L'Église Mère. Au cours de nos premières années de vie commune, nous avons élevé une famille nombreuse et, apprenant à nous appuyer fermement sur Dieu, nous avons été l'objet de maintes bénédictions.
Ce qui suit est la relation d'une guérison plus récente. A un moment donné, nous voyagions en Europe, conduisant une voiture que nous avions louée en compagnie d'un autre couple. Au cours de ce voyage, une grosseur est apparue sur la nuque de mon mari. Elle était douloureuse au début et suppurait. Nous la recouvrions d'un pansement propre tous les matins et tous les soirs.
Chaque jour, mon mari et moi, nous avons refusé d'accorder à cette erreur, ou à toute autre forme de mal, le pouvoir de faire souffrir l'homme ou de le séparer de Dieu. Nous savions que mon mari, dans son être véritable, était parfait et spirituel. Nous avons affirmé qu'en réalité, il était caché « avec Christ en Dieu » (Col. 3:3). La douleur fut rapidement surmontée. Cet énoncé de Science et Santé de Mary Baker Eddy nous a beaucoup aidés: « Si nos espoirs et nos affections sont spirituels, ils nous viennent d'en haut, non d'en bas, et portent comme jadis les fruits de l'Esprit » (p. 451). Nous nous sommes sentis soutenus par notre étude quotidienne de la Bible et des œuvres de Mary Baker Eddy. Nous combattions « le bon combat de la foi » (I Tim. 6:12) et nous avions le sentiment que nous étions en train de gagner.
Nous avons continué notre voyage d'une façon harmonieuse et surmonté l'inquiétude de ne pouvoir nous isoler afin de prier pour résoudre ce problème. Peu de temps après notre retour, nous avons constaté que la guérison était complète et que la peau était nette. Tout avait disparu.
Nous avions maîtrisé la crainte d'être séparés du bien et ainsi effectué un pas en avant qui nous a donné courage et confiance lorsque, à un autre moment, une grosseur m'est apparue sous l'oreille. Nous étions en vacances et, bien que n'ayant abandonné aucune de mes activités normales, j'ai commencé à me soucier de ce que les autres pourraient penser. Pour cette raison, j'ai demandé de l'aide par la prière à une praticienne de la Science Chrétienne. J'ai continué bien sûr à prier moi-même.
Pendant deux jours, j'ai essayé, à différentes reprises, de couvrir la chose d'un pansement. Mais, le soir du second jour, je me suis sentie tellement libérée que je l'ai enlevé. A un certain moment, j'ai remarqué un regard de désapprobation parce que cela se voyait. J'ai passé la nuit suivante à prier de tout mon cœur et j'ai ressenti une merveilleuse élévation spirituelle. J'étais persuadée que cette difficulté serait surmontée.
L'après-midi suivant, en me coiffant, j'ai vu que cela suintait. Il ne restait qu'une petite trace et celle-ci eut bientôt disparu. Cette guérison m'a donné une joie profonde. Comme nous le lisons dans Science et Santé (p. 393): « Il est bon d'être calme dans la maladie; espérer vaut mieux encore; mais le mieux de tout, c'est de comprendre que la maladie n'est pas réelle et que la Vérité peut en détruire la réalité apparente, car la compréhension de ce fait est le remède universel et parfait. »
Arkansas City (Kansas), U.S.A.
Je suis heureux de confirmer le témoignage de ma femme, car je peux affirmer l'exactitude des guérisons relatées. Nous sommes vraiment reconnaissants d'être guidés par Dieu, d'être membres d'une église filiale et de L'Église Mère et d'avoir suivi le cours de Science Chrétienne.
    