Témoignages
« Moi, devenir nurse de la Science Chrétienne ? Ça, jamais ! » C’est ce que j’ai affirmé catégoriquement il y a plusieurs années. A cette époque, je venais de terminer mes études secondaires; je travaillais à plein temps et suivais des cours du soir.
Assister à la réunion de mon association d’étudiants de la Science Chrétienne Christian Science (’kristienn ’saïennce) à New Delhi, il y a une année et demie, fut pour moi un défi. Mais combien grand pourtant fut le déroulement du dessein de Dieu ! Je n’eus qu’à contempler la réalisation de Ses glorieuses promesses.
J’étais tout à fait heureuse, pleine de joie et en bonne santé lorsque j’ai trouvé la Science Chrétienne. A cette époque, j’habitais New York et j’avais un bon emploi et de bons amis.
J’ai fait un jour un voyage en Israël, et je suis particulièrement reconnaissante pour une guérison que j’ai eue au cours de ce voyage. Le voyage comprenait une expédition en jeep pendant cinq jours avec un autre groupe pour monter au mont Horeb.
C’est avec une très grande gratitude que je me souviens d’une guérison que j’ai eue il y a environ huit ans. Et depuis, chaque année, je me suis rendu compte combien cette expérience particulière avait été importante pour moi, car elle m’a apporté une base solide pour un mode de vie plus enrichissant, jour après jour.
La veille de mon départ en mission pour le Service des Affaires étrangères des États-Unis, j’ouvris ma Bible aux versets suivants: « Où irais-je loin de ton esprit, et où fuirais-je loin de ta face ?.
Dès mon enfance, j'ai été très attirée par la lecture, et de préférence sur des sujets religieux. Pour cette raison, j'écoutais les programmes religieux diffusés par la radio et j'écrivais aux stations pour recevoir les ouvrages qu'elles proposaient.
Un vendredi, au cours d'un hiver particulièrement froid, il y a plus de cinquante ans, un charmant voisin, qui était entrepreneur de plomberie, vint me voir et me dit que la plupart des maisons de notre village n'avaient pas d'eau. Il me raconta qu'il avait essayé de dégeler les canalisations depuis quelques jours en se servant d'une lampe à souder, mais sans succès, car les tuyaux étaient gelés dans le sol.
Peu après la naissance de notre fille, le médecin vint vers mon mari et moi et nous annonça qu'en raison de la coloration inhabituelle de la peau du bébé, une analyse de sang avait dû lui être faite. L'analyse avait révélé un dangereux déséquilibre globulaire, et le médecin nous dit qu'il avait appelé un spécialiste qui était déjà en route pour l'hôpital afin de faire une transfusion de sang totale à l'enfant, pour essayer de lui sauver la vie.
Un soir, en revenant chez moi après le travail, je commençai à m’apitoyer sur mon sort. Par la volonté, j’avais essayé de nombreuses fois de m’arrêter de fumer.