Témoignages
Lorsqu’une chère amie me fit connaître la Science Chrétienne, je ne me doutais pas de la joie, de l’harmonie et du bonheur qu’il allait en résulter pour notre foyer. C’est toute notre attitude envers la vie qui fut changée.
Un mercredi soir, après la réunion de témoignage à mon église, je rentrai chez moi. Comme je pénétrais dans la maison obscure, quelqu’un me saisit brusquement par derrière et me jeta au sol.
J’eus connaissance pour la première fois du pouvoir de guérison de la Science Chrétienne lorsque mon grand-père fut guéri en quelques heures de ce qui avait été diagnostiqué comme un caillot de sang au cerveau. Cependant, aussi merveilleuse que fût cette guérison, pas un seul des membres de la famille, excepté Grand-père lui-même, n’entreprit l’étude de cette Science qui guérit.
J’étudie la Science Chrétienne* depuis plus d’un demi-siècle, et je pense qu’il est grand temps que je partage avec d’autres ma gratitude pour une guérison très sacrée. Je suis née dans un pays qui devint un jour le farouche ennemi du pays natal de mes parents.
Il y a bien des années, je souffrais d'un mal diagnostiqué rhumatisme arthritique. J'avais alors douze ans.
Après une enfance heureuse et relativement sans soucis, j'envisageai avec impatience une carrière dans les arts. Au lieu de cela, alors que je n'avais pas encore vingt ans, de sévères revers de fortune dans ma famille eurent pour résultat mon départ pour l'Amérique, où je dus me débrouiller toute seule.
Il y a de nombreuses années, alors que je travaillais comme technicien de laboratoire dans le corps médical de l’armée des États-Unis, j'ai avalé accidentellement du cyanure pendant un test de laboratoire. Mais je n’ai pas eu peur.
Je suis très heureuse d’être une étudiante de la Science Chrétienne, et je suis très reconnaissante envers ceux qui m’ont conduite sur ce chemin de liberté, où j’ai trouvé la vérité à laquelle j’aspirais depuis si longtemps. Il y a des années, je souffris énormément de douleurs aux pieds.
« Si nous examinions attentivement le prix des joies terrestres, nous serions alors heureux de nous éveiller et de voir qu’elles sont irréelles » ( La guérison chrétienne de Mary Baker Eddy, p. 11).
Je suis en train de faire un coussin au petit point. Le petit point, c’est comme un travail de tapisserie à l’aiguille, mais il se fait avec un fil dédoublé sur un canevas très fin.