
Témoignages
C’est avec la plus grande gratitude envers Dieu pour la Science Chrétienne, ainsi que pour la joie d’avoir suivi le cours de Science Chrétienne, que j’écris ce témoignage. La Science Chrétienne est venue dans ma vie au bout de dix ans de mariage.
Je désire ajouter mon témoignage de gratitude pour la Science Chrétienne à celui de ma femme, et confirmer la véracité des événements qui entourèrent la naissance de notre fille aînée. Cette guérison représente un jalon spirituel dans ma vie, un rocher auquel s’accrocher, un rappel constant de la puissance de Dieu.
« Chantez à l’Éternel un cantique nouveau ! Chantez à l’Éternel, vous tous, habitants de la terre ! Chantez à l’Éternel, bénissez son nom, annoncez de jour en jour son salut ! » (Ps. 96:1, 2).
J'aimerais exprimer ma gratitude pour une guérison d’un défaut de la vue qui s’est produite en moi il y a plusieurs années. Lors de ma première visite aux États–Unis, j’ai connu la Science Chrétienne qui m’a donné une nouvelle compréhension de Dieu, de la Vie divine.
En mai 1982, je fus soudain affligé d’une inflammation aiguë des membres. Je fis appel à une praticienne de la Science Chrétienne afin qu’elle m’aide par la prière.
« Tous ceux qui se confient en toi se réjouiront, ils auront de l’allégresse à toujours » (Ps. 5:12).
Je suis née en Turquie, à Istambul. Une fois adulte, j’ai émigré aux États-Unis.
J’aimerais vous relater quelques-uns des bienfaits que j’ai reçus en Science Chrétienne. A un moment donné, je souffrais depuis cinq ans d’une plaie à l’un de mes orteils, dont on m’avait dit qu’elle était incurable.
Il y a plusieurs années de cela, lorsque j’ai appelé une praticienne de la Science Chrétienne afin qu’elle m’aide par la prière à surmonter un profond sentiment de dépression, celle-ci m’a encouragée à regarder au-delà de moi-même. A cette époque, je n’ai pas tout à fait compris ce qu’elle voulait dire.
Il y a plusieurs années, alors que je travaillais comme reporter pour un journal de province, je passai un certain temps à préparer un article sur la pauvreté rurale dans notre région. Ce faisant, je rencontrai une mère de famille qui vivait des allocations familiales et qui fut l’une de mes principales sources d’information.