À quoi tient le fait qu’un mariage sera heureux ou malheureux ? Le débat se poursuit dans les médias du monde entier ainsi que sur des milliers de blogs et de sites Internet. De quelle ampleur est ce débat ? Pour un jour donné, on trouvera au moins deux cents histoires de « mariages réussis » relatées par les médias et plus de 151 millions d’allusions au même thème sur Internet.
Est-ce surprenant ? Pas vraiment, puisque nous sommes reliés au monde entier instantanément. Les thèmes de discussion portent sur des conceptions différentes à propos de l’éducation des enfants, des finances (y compris les difficultés que connaissent les couples dont l’un des conjoints est au chômage), des relations sexuelles, de la communication avec son conjoint, etc. À peine un sujet est-il formulé qu’un dialogue s’ensuit. On pourrait passer des années, littéralement, à lire conseil après conseil et à s’efforcer, avec la plus grande détermination, de faire en sorte que son mariage réussisse.
La plupart du temps, on se marie en espérant être heureux, en se jurant de s’aimer, de se respecter mutuellement, de chérir son foyer et sa famille; ce sont certainement là de très bonnes dispositions dès le départ. L’engagement nécessaire, tant de la part du mari que de la femme, pour que le mariage marche vraiment, doit reposer sur l’idée du couple et non sur celle de deux individus.
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