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GUÉRISON D'UNE BLESSURE AU TENDON

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de mars 2012

Christian Science Sentinel


Témoignage paru dans le Christian Science Sentinel

Il y a environ huit ans, pendant un entrainement de tennis, une balle est venue heurter l'extrémité de mon annulaire gauche, le blessant de telle façon que la dernière phalange pendait, recourbée et immobile.

Aussitôt après l'accident, je n'ai pas regardé mon doigt et, du mieux que j'ai pu, j'ai gardé ma pensée centrée sur le fait spirituel de la toute présence de Dieu ainsi que sur l'impossibilité qu'il y ait un accident là où tout est gouverné par le Principe divin. J'ai pu rester calme et je n'ai pas eu besoin d'en parler à qui que ce soit, sauf à mon mari, car cela était arrivé juste à la fin de notre leçon de tennis. Nous sommes simplement rentrés à la maison et j'ai téléphoné immédiatement à un praticien de la Science Chrétienne pour qu'il prie avec moi. Puis, j'ai passé le reste de la soirée à lire des magazines de la Science Chrétienne et à prier avec les idées que je lisais. Ceci m'a aidée à calmer la crainte.

Le lendemain matin, comme je pensais que mon doigt était cassé, je suis allée aux urgences de l'hôpital local où on m'a dit que c'était le tendon qui contrôle la dernière phalange qui s'était cassé. On m'a donné un tube en plastique et on m'a conseillé de le porter pendant six semaines de manière à garder le doigt tendu pour que les extrémités du tendon se rejoignent et se réparent.

Pendant les semaines qui ont suivi, j'ai prié pour comprendre que j'étais intacte et que mon expérience humaine devait refléter ma compréhension spirituelle. Mais je savais que, dans son tube en plastique, le tendon ne s'était pas réparé.

Le pire est arrivé quand je suis retournée à l'hôpital pour la visite de contrôle après les six semaines. Le médecin m'a annoncé que le doigt n'était toujours pas guéri et que dans certaines situations, les tendons ne se réparaient jamais. Si c'était le cas, il n'y aurait rien à faire et le bout de mon doigt ne redeviendrait jamais normal.

Je suis rentrée chez moi choquée par cette nouvelle, et, incrédule, j'ai téléphoné à ma mère, qui est scientiste chrétienne et qui habitait à l'époque à l'autre bout du pays. Quand je lui ai raconté ce qu'on m'avait dit à l'hôpital, elle s'est écriée: « Oh, non », avec une telle conviction spirituelle et une telle autorité que cela m'a secouée mentalement et m'a fait sortir de mon état de choc. Ma mère m'a dit plus tard qu'elle avait tout de suite rejeté la suggestion mentale qu'il pouvait y avoir une validité spirituelle quelconque dans ce pronostic.

Je suis violoniste et non seulement il ne semblait pas juste, mais cela n'avait pour moi aucun sens spirituellement, que mon expression individuelle de l'Âme, ou Dieu, puisse être limitée par un accident ou par quoi que ce soit d'autre. La Science Chrétienne enseigne que nous sommes spirituels et complets, que rien ne peut changer ce fait, que ce qui semble être un corps matériel est un phénomène mental gouverné par la pensée, et que nous avons la domination sur nos pensées.

« L'exposé scientifique de l'être » qui déclare en partie, « Tout est Entendement infini et sa manifestation infini car Dieu est Tout-en-tout », n'était certainement pas annulé par l'évidence matérielle d'un tendon brisé, menaçant de m'empêcher d'exprimer mon « moi » réel (voir Science et Santé, p. 468). Mais l'absolue clarté de pensée de ma mère, sa conviction qu' « une idée spirituelle ne renferme pas un seul élément d'erreur... » (voir ibid., p. 463) et son refus d'entretenir une seule crainte (ou même des questions du type « qu'est-ce qui va se passer si... »), tout cela a brisé le mesmérisme qui entourait mon état de pensée. Je sais qu'après notre appel téléphonique, ma mère a continué de prier de cette façon. Je suis allée me coucher en me sentant beaucoup plus paisible et en ayant la certitude que l'on prenait bien soin de moi.

Cette nuit-là, il m'a semblé que le tendon se reformait. C'était une sensation extraordinaire. De retour à l'hôpital, un autre médecin a examiné mon doigt et confirmé que les extrémités du tendon s'étaient en effet ressoudées. Il m'a regardée avec un grand sourire et m'a dit: « Vous pouvez rentrer chez vous. » Cette guérison a été permanente. Je continue à jouer du violon et d'autres instruments de musique.


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