À la suite d'un chagrin d'amour, une jeune Anglaise devint folle et perdit toute notion du temps. Jour après jour, elle s'installait à la fenêtre et attendait l'arrivée de son fiancé. N'étant pas consciente des années qui passaient, elle ne vieillissait pas, restant dans l'expectative de voir revenir celui qu'elle aimait. Aucune trace de souci ou de rides n'apparaissait sur son visage. Ses cheveux n'avaient pas blanchi, son front et ses joues respiraient la jeunesse. Ceux qui ignoraient son histoire lui donnaient 20 ans, alors qu'elle en avait 74. Ce récit, publié dans une revue médicale de Londres, The Lancet, est cité dans le livre d'étude de la Science Chrétienne, Science et Santé avec la Clef des Écritures. Son auteur, Mary Baker Eddy, explique ainsi ce phénomène: « Grâce à cet état mental elle conserva sa jeunesse. [...] Elle ne pouvait vieillir alors qu'elle se croyait jeune, car l'état mental régissait l'état physique. » (p.245)
Voilà un cas qui donne à réfléchir, n'est-ce pas ?
N'avons-nous pas tous expérimenté, de différentes manières, des situations où un état physique a été influencé par le mental ? Nous avons peut-être remarqué qu'une douleur s'évanouissait ou passait au deuxième plan lorsqu'une préoccupation plus importante prenait la première place. Nous pensions être bloqués par notre physique; or, confrontés à une situation urgente, nous constatons qu'il s'agissait en fait d'un état mental.
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