Avant de devenir étudiant de la Science Chrétienne, je souffrais d’une pneumonie et de problèmes respiratoires. J’avais cherché à me soigner par la médecine et il m’avait fallu plusieurs mois de traitement pour me sentir mieux. À cause de la gravité de mon cas, le médecin m’avait prévenu que la maladie serait récurrente.
Au début de l’année passée, alors que j’étais parti skier dans les montagnes du Colorado, aux U.S.A., les même symptômes ont réapparu, selon les prévisions du médecin. Mais quand cela est arrivé, j’avais compris comment me traiter par la Science Chrétienne. On pourrait décrire ce traitement comme une prière mentale qui mène au vrai sens spirituel de l’être, soit que l’on se traite soi-même soit que l’on traite quelqu’un d’autre. Alors, j’ai décidé de prier selon cette méthode, et ensuite j’ai contacté un praticien de la Science Chrétienne pour avoir une aide supplémentaire par la prière, tout cela sans chercher aucun traitement médical.
J’ai décidé de me porter témoin de ce qui se passait spirituellement. Comme je semblais être effrayé par les symptômes, je savais que la prière me permettrait de nier mentalement ces suggestions, de façon à ce qu’elles ne me dérangent plus. J’avais perçu que Science et Santé décrit cette manière mentale de refuser les informations présentées par les sens mortels, comme un traitement ayant la force spirituelle de l’ « ange Michel ». Puis, dès que la pensée n’est plus confuse, elle est libre de s’élever jusqu’au sens spirituel de l’être, et le traitement prend la douceur caractéristique de l’ « ange Gabriel » (voir Science et Santé, pp. 566-567). Alors, la pure reconnaissance de l’Amour, le sens spirituel de l’être, guérit.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !