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GUÉRISON D'UN MAL D'OREILLE ET D'UNE BLESSURE À LA TÊTE

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de novembre 2011


Un matin de novembre 2007, mon mari, qui se lève avant moi, est venu me dire que notre fils, Jérémy, âgé alors de 12 ans, était déjà debout, se plaignant d'un mal d'oreille. Je me suis mise immédiatement à prier tout en m'habillant. Quand je suis descendue à mon tour pour rejoindre mon fils, il était en larmes, ce qui est très inhabituel pour lui. Son père l'entourait tendrement de son bras et ils lisaient ensemble la Leçon biblique de la Science Chrétienne pour la semaine en cours. J'ai pris mon fils dans mes bras en lui affirmant que tout allait bien, maintenant même. Cette marque d'affection, expression de l'Amour divin, l'a aidé. Il m'a dit qu'il allait déjà mieux. J'aimerais préciser ici que mon mari, mon fils et moi-même nous sommes toujours appuyés sur la prière par la Science Chrétienne pour guérir ou pour résoudre tout type de problème. Ayant eu la preuve, à de nombreuses reprises, de l'omnipotence de Dieu, l'Amour divin, qui « guérit toutes tes maladies » comme nous le dit la Bible (voir Psaume 103:3), nous n'envisagions pas d'autre traitement que la prière pour Jérémy, qui était d'accord avec cette prise de position.

Je me suis mise à étudier, à mon tour, la Leçon biblique. Cette semaine-là, le sujet était « Les mortels et les immortels ». J'y ai trouvé plusieurs passages très utiles qui m'ont beaucoup aidée à voir clairement ce qui était vrai, à ce momentlà, au sujet de la situation. J'ai mentionné à mon fils et à mon mari le passage suivant de Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mary Baker Eddy: « Lorsque l'illusion de la maladie ou du péché vous tente, attachez-vous fermement à Dieu et à Son idée. Que rien hormis Sa ressemblance ne demeure dans votre pensée. [...] Que la Science Chrétienne, au lieu du sens corporel, soutienne votre compréhension de l'être, et cette compréhension substituera la Vérité à l'erreur, remplacera la mortalité par l'immortalité, et réduira au silence la discordance par l'harmonie. » (p. 495) Pour ma part, j'ai maintenu l'idée que le Principe de l'être de mon fils, c'était l'Amour divin, auquel il était parfaitement uni. Il ne pouvait donc pas être touché par quoi que ce soit de nature différente de Dieu, le bien toujours présent.

Entre-temps, mon fils avait cessé de pleurer. J'étais prête à le garder à la maison, mais il a préféré aller à l'école. La douleur avait diminué. J'ai continué de prier pendant que je le conduisais à l'école. En arrivant, je lui ai souhaité une bonne journée et il m'a confirmé une nouvelle fois qu'il allait beaucoup mieux. Il était serein et confiant dans la sollicitude divine. Toute la journée, mon mari et moi avons continué d'affirmer la vérité au sujet de la perfection de notre fils, en reconnaissant sa nature spirituelle à l'image de Dieu. Quand nous sommes allés le chercher le soir, il était clair qu'il allait très bien. Il était en salle d'étude, concentré sur un problème de géométrie. La douleur avait disparu. Le lendemain, l'autre oreille s'est mise à lui faire mal, bien que ce soit beaucoup moins douloureux que la veille. Là encore, nous avons affirmé ce qui était spirituellement vrai à son sujet. Et là encore, le problème a rapidement cédé, le jour même. La douleur ne s'est pas représentée depuis.

Je suis tout particulièrement reconnaissante de cette guérison, parce que mon fils en a été le premier témoin et qu'il y a participé.

À une autre occasion (c'était en 2009), je revenais de faire des courses en voiture. J'ai sorti mes cabas du coffre, mais quand je l'ai refermé, je me trouvais visiblement trop près de la voiture puisque la porte s'est rabattue sur ma tête. La douleur m'a coupé le souffle pendant quelques instants, tant elle était insupportable. Je me suis tout de suite mise à prier en niant la possibilité qu'un accident puisse se produire dans le royaume infini de Dieu où seule l'harmonie divine existe. Je suis entrée dans la maison. Le coup avait été si violent que j'ai vérifié si j'avais besoin de laver la coupure, mais il n'y avait aucun saignement.

À cette époque, je lisais et étudiais le chapitre intitulé « Pratique de la Science Chrétienne », dans Science et Santé, et j'étais donc remplie de toutes les idées métaphysiques contenues dans ce chapitre. En particulier, j'avais été frappée par l'insistance qui y est faite sur la totalité de l'Esprit et l'inexistence de la matière, et par conséquent sur l'impuissance et l'inintelligence de cette dernière. Une des phrases que j'ai lues dans ce même chapitre, et qui se trouve à la page 409, m'est venue à l'esprit: « Il est impossible que la matière soit intelligente. » Et je suis restée avec cette pensée. La douleur a diminué d'intensité très rapidement. J'ai aussi refusé énergiquement la suggestion que des séquelles pourraient survenir. Pour cela, j'ai continué à me baser sur le fait que la matière n'est pas intelligente et qu'elle n'a donc pas le pouvoir d'évoluer ni de permettre à quoi que ce soit de se développer. Seul Dieu, l'Esprit, a tout pouvoir, et je suis Son reflet parfait, à l'abri de tout accident et de ses effets.

J'ai vaqué à mes occupations de la journée, en sachant que j'étais libre de faire le bien, ce qui m'aide toujours à détourner mon attention d'un problème. Le soir, j'ai réussi à m'endormir sans être gênée par le problème. Le lendemain matin, j'ai pu me laver les cheveux sans difficulté. C'était juste un peu sensible à l'endroit où ma tête avait heurté la porte, mais sans plus. Toute sensation a disparu en moins d'une semaine. Je n'aurai jamais assez de mots pour exprimer ma reconnaissance à Dieu de connaître la Science Chrétienne. La mise en pratique quotidienne de cette Science est une source illimitée de bienfaits pour ma famille et moi-même. Je me réjouis vraiment de savoir que chaque jour, chacun de nous peut affirmer: « C'est ici la journée que l'Éternel a faite: qu'elle soit pour nous un sujet d'allégresse et de joie ! » (Psaume 118:24)


Cela s'est bien passé quand j'avais douze ans. Je me rappelle que je pleurais dans le salon, et que le mal d'oreille est parti sans que je m'en aperçoive. « Pour ceux qui s'appuient sur l'infini, soutien constant, aujourd'hui est riche en bienfaits. » (Science et Santé, p. vii) Je suis reconnaissant d'avoir été guéri et d'avoir des parents qui sont scientistes chrétiens.

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