En me couchant un soir, il y a environ trois ans, j'ai ressenti une forte douleur au niveau du ventre. J'avais du mal à m'allonger normalement et à bouger. Ainsi, j'ai dû passer les deux journées suivantes au lit. Je me suis tournée vers Dieu en prière, comme j'avais l'habitude de le faire. Mes parents me soutenaient aussi par la prière, et la douleur a progressivement diminué. À mon école du dimanche, le moniteur nous avait appris qu'il y a deux choses qu'un scientiste chrétien a l'occasion de « mettre en pratique » dans la prière: l'affirmation et la négation. J'ai donc reconnu que la maladie, le péché et la mort étaient néant et j'ai affirmé que j'étais l'enfant de Dieu et qu'en réalité le bien occupe tout l'espace. Je savais que la maladie est irréelle. Ensuite, j'ai lu et médité ce passage dans la Bible, dans le livre de la Genèse: « Puis Dieu dit: faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance. » (1:26) Je savais que j'étais faite à l'image et à la ressemblance de Dieu, non malade mais en bonne santé. J'ai médité également ces idées de Mary Baker Eddy, en lisant Science et Santé, à la page 306: « ... l'homme ne peut être séparé de Dieu un seul instant, puisque l'homme reflète Dieu. » J'ai aimé ces idées parce qu'elles m'ont fait comprendre que je suis inséparable de Dieu.
Deux jours après, j'étais complètement guérie et jusqu'à aujourd'hui je n'ai plus jamais souffert de ce mal de ventre. Lorsque je repense à cette guérison, je ressens une immense gratitude envers la Science Chrétienne.
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