Aux États-Unis, patrie des longues journées de travail et des vacances de courte durée, moins de la moitié des Américains déclarent être satisfaits de leur travail. Or il y a vingt ans, ils étaient 61 %, selon une étude menée en 2007 par un institut de recherches en milieu professionnel. D'autres enquêtes indiquent des pourcentages de satisfaction variables selon les pays, pourcentages en baisse en France et en Allemagne, et plus bas encore en Europe de l'Est et au Japon.
Quand on est au chômage ou employé mais avec la crainte permanente d'un licenciement, ou bien quand on est proche de la retraite, réfléchir aux raisons que l'on a d'être heureux dans son travail n'est pas une priorité. Cela peut cependant être le moment idéal d'y penser sérieusement.
Que l'on soit étudiant, engagé dans la vie professionnelle, retraité ou prêt à démarrer une seconde carrière, on ne peut laisser sans réponse des questions essentielles: Quel genre de travail satisfait vraiment? Quelle est en fait la source de mon épanouissement? Est-ce que je passe à côté de ma vraie vocation, volontairement ou involontairement? Même si je me sens appelé à changer radicalement de vie, comment puis-je le faire sans être perdant alors que j'ai déjà du mal à payer mon loyer, ma nourriture et mon chauffage?
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