Lorsque je suis revenue à l'église après quinze ans d'absence, c'était au service dominical d'une petite société de la Science Chrétienne. Quand je dis petite, c'est que ce jour-là, j'étais seule dans l'assistance, et l'un des lecteurs était également chargé du piano accompagnant les cantiques. Assise au dernier rang, je n'ai pu retenir mes larmes lorsque nous avons chanté les paroles du poème Prière du soir de « Mère » de Mary Baker Eddy, qui commence ainsi:
« Douce présence, force joie et paix, / Vie infinie, ô souverain pouvoir... » (Écris divers, p. 389).
Ces mots familiers, si souvent chantés, décrivaient on ne peut plus parfaitement ce que je ressentais et ce que j'avais connu depuis que j'avais cessé de fréquenter l'église de nombreuses années auparavant.
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