NE JAMAIS CONSENTIR À LA FATALITÉ
Je lis le Héraut depuis toujours puisque j'al eu la chance de fréquenter l'école du dimanche de la Science Chrétienne Christian Science. J'aime particulièrement les interviews de praticiens et de professeurs que nous y trouvons depuis le début du nouveau format. C'est un enrichissement magnifique pour notre vie de tous les jours. Un petit exemple:
Nous habitons au 6ème étage dans un immeuble entouré de verdure et nous avons maintenant un jeune chat très joueur et qui saute sur tout ce qui bouge. Par deux fois, il a ramené dans l'appartement un oiseau qui n'a pas survécu, à ma grande déception, bien sûr. Dernièrement, notre chat a recommencé. Comme les autres fois, je lui ai fait lâcher l'oiseau, mais cette fois, je me suis enfermée sur le balcon et j'ai prié en affirmant que ce petit être représentait la Vie, une idée de Dieu parfaite, et qu'il nous faisait tant de plaisir lorsqu'on l'entendait chanter ! Je le caressais en lui parlant doucement. J'ai continué durant une bonne demi-heure, mais il n'y avait toujours pas de réaction ! Puis je me suis rappelé une petite phrase que j'avais lue dans un Héraut et qui disait: NE DONNEZ JAMAIS VOTRE CONSENTEMENT ! [Sous-entendu: ne baissez pas les bras face au témoignage des sens matériels, n'acceptez pas le désespoir.]
Alors je dis à l'oiseau: tu DOIS vivre ! tu dois aller raconter à tous tes copains dans les arbres là-bas qu'ils ne doivent pas venir au 6ème étage à cause du chat ! Sur ce, l'oiseau se redresse et s'envole en battant des ailes jusqu'au saule en face de chez nous !!!
Vous ne pouvez pas savoir ce que cette petite expérience m'a appris et je suis extrêmement reconnaissante à Mary Baker Eddy de nous avoir expliqué dans son magnifique livre, Science et Santé avec la clef des Écritures, comment résister à l'erreur. Ce n'est pas tous les jours facile, mais des petites choses comme celle-là nous donnent confiance.
Genève, Suisse
RÉPONSE À UNE PRÉOCCUPATION
Chers amis,
Je remercie le Héraut pour l'article intitulé « Ne te compare pas aux autres », de Caitlin Heimerl, paru dans le numéro de janvier dernier. Je viens de le lire, et il m'a réconforté en ce qui concernait des comparaisons après mon mariage.
Kinshasa, Rép. Dém. du Congo