À l’époque où j’ai été guérie pour la première fois, par la Science Chrétienne, d’une affection incurable selon les médecins (voir mon témoignage paru dans le Héraut d’octobre 2006), je suivais aussi, depuis deux ans, un traitement prescrit par un gynécologue contre une stérilité qui durait depuis une dizaine d’années. En effet, nous avions eu autrefois mon mari et moi trois enfants, mais la dernière des trois était décédée en bas âge d’une maladie dite génétique. Cette perte nous avait laissé un grand vide. Au bout de quelques années, nous avions souhaité avoir un autre enfant, mais comme cela n’arrivait pas, nous avions fini par consulter un médecin qui avait diagnostiqué une stérilité « secondaire » entraînant l’impossibilité d’avoir des enfants, et avait prescrit des médicaments, qui étaient restés sans résultats.
Remplie de reconnaissance pour la guérison citée plus haut, je me dis qu’il me fallait me tourner résolument vers Dieu pour résoudre aussi ce problème de stérilité, car rien n’est impossible à Dieu, et j’abandonnai le traitement médical. Pendant deux années, j’ai donc prié dans le secret de mon cœur, confiante en Dieu, le « secours qui ne manque jamais dans la détresse » (Psaume 46:2). Ce passage du livre d’étude de la Science Chrétienne, Science et Santé avec la Clef des Écritures, m’a toujours été d’une grande aide: « Lorsqu’il est gouverné par Dieu, l’Entendement toujours présent qui comprend toutes choses, l’homme sait que tout est possible à Dieu. » (p. 180) Je priais sans crainte, confiante que Dieu, dans Son amour, pourvoirait à notre besoin. J’avais confié à la praticienne qui m’avait aidée la première fois mon désir d’avoir un autre enfant, et elle me soutenait dans ma prière.
La réponse à cette prière survint au bout de ces deux années: j’attendais un enfant ! La naissance de notre petite fille, seize ans après celle de notre dernier fils, nous a comblés de joie mon mari et moi. Autour de nous et dans la famille, l’arrivée de cette enfant a été considérée comme un miracle. Notre fille a maintenant vingt-deux ans, elle est merveilleuse et pleine de santé. Que Dieu ne peut-Il faire ?
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