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Guérie de l'épilepsie

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de février 2004


A l'âge de seize ans, en me rendant chez une amie, j'ai perdu connaissance dans la rue et un examen médical a révélé que je souffrais d'épilepsie.

A la suite d'autres analyses, on m'a dit que j'étais sujette à des crises, des pertes de conscience, des maux de tête, des absences et des problèmes de concentration.

M'étant appuyée sur la prière pour être guérie dans d'autres cas, j'ai refusé tout traitement médical. J'ai demandé à une praticienne de la Christian Science et à mes parents de m'aider par la prière. J'étais sûre que je serais complètement guérie.

Les crises ont continué pendant deux ans. Au moment d'entrer à l'université, j'ai dû, pour être admise, accepter de prendre trois comprimés par jour afin de réduire les risques de crise. J'y ai consenti tout en continuant à prier et à m'appuyer sur Dieu. La maladie semblait quelque peu maîtrisée par les comprimés, mais elle a persisté au point que dans ma famille on hésitait à me laisser cuisiner ou travailler dans la cuisine. J'avais des absences et me mettais à regarder dans le vide alors que j'étais en train de parler à quelqu'un sans même me rendre compte qu'un laps de temps s'était écoulé. Je souffrais constamment de migraines et j'avais des vertiges.

Pendant ma troisième année d'université, tout en travaillant pour une compagnie d'étude de marché, j'ai décidé d'arrêter de prendre les comprimés et de m'en remettre totalement à Dieu, convaincue qu'Il me conserverait en vie quoi qu'il arrive. Je n'avais plus peur d'être seule dans des « lieux à risque » comme les stations de métro souterraines.

Au cours de ma dernière année, désirant comprendre de mieux en mieux les lois divines et leur mise en application, j'ai décidé de suivre le cours de Christian Science. J'ai parlé à mon professeur des vertiges et des périodes de demi-conscience, et elle m'a soutenue par la prière dans ma préparation pour le cours.

Un soir, quelques semaines avant que le cours ne commence, j'ai vécu quelque chose d'unique. J'étais dans ma chambre, assise sur mon lit, quand j'ai senti quelque chose sortir de mes oreilles. C'était comme de l'eau, mais rien n'est sorti. J'ai su immédiatement que j'étais guérie. J'ai téléphoné à mes cousines pour leur dire que j'étais guérie.

Je suis incapable de préciser la façon dont je priais à ce moment-là, mais je m'étais toujours accrochée aux guérisons opérées par Jésus du garçon épileptique et du « démoniaque » qui vivait dans les tombes, guérisons qui illustrent comment on peut se rebeller contre la croyance à l'existence de mauvais esprits. (Voir Matth. 17:14—20 et Marc 5:1–15.) J'ai été fortifiée et j'ai repris espoir en pensant au fait que Jésus n'était pas impressionné par les crises ni par le mal qui lui demandait de le laisser tranquille. Il savait qui était le maître et qui dominait la situation. Les faux esprits n'avaient pas le pouvoir de résister aux ordres du Christ, de la Vérité, qui leur ordonnait de sortir du garçon et de l'homme.

J'ai aussi puisé de l'inspiration dans plusieurs versets bibliques comme cette affirmation des Psaumes: « Je ne mourrai pas, je vivrai, et je raconterai les œuvres de l'Éternel. » (118:17) et dans cette promesse qu'on trouve dans la Deuxième épître à Timothée: « Car ce n'est pas un esprit de timidité que Dieu nous a donné, mais un esprit de force, d'amour et de sagesse. » (1:7) J'ai aussi été fortifiée par de nombreux passages de Science et Santé, en particulier par celui-ci: « Élevez-vous dans la force de l'Esprit pour résister à tout ce qui est dissemblable au bien. Dieu en a rendu l'homme capable, et rien ne saurait invalider les capacités et le pouvoir dont l'homme est divinement doué. » (p. 393)

Quelques mois plus tard, j'ai eu la possibilité de subir un examen médical, le même qui avait déterminé que j'étais épileptique six ans plus tôt. Il a été confirmé que je ne souffrais d' « aucune caractéristique propre à l'épilepsie ».

Je remercie Dieu pour cette magnifique guérison. Les prières et le soutien que j'ai reçus des praticiens, de ma famille et de mes amis ont beaucoup compté pour moi pendant cette période. En outre, je suis reconnaissante pour tout ce que j'ai appris, y compris la nécessité d'avoir une foi inébranlable, l'importance de la persévérance ainsi que d'une compréhension toujours meilleure du droit que Dieu nous a donné de vaincre le mal sous toutes ses formes. Ce que j'ai appris m'a énormément résoudre d'autres problèmes auxquels j'ai dû faire face depuis.


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