Dans le Christian Science Sentinel du 5 juillet dernier, Rosalie E. Dunbar a réalisé un dossier intitulé « Prière pour le Proche-Orient », dont l'article qui suit est tiré. L'auteur y fait état de propos recueillis auprès de spécialistes américains des questions islamiques, puis elle explore le rôle que peut tenir la prière pour amener la paix, en évoquant en particulier l'approche spirituelle de Mary Baker Eddy au début du siècle dernier.
Ghazi Khankan est responsable des questions interreligieuses au Centre islamique de Long Island, à Westbury, dans l'État de New York. Né en Syrie, il habite aux États-Unis depuis 1954. Il prie tous les jours pour une paix juste. Mais si la prière fait partie de ses activités quotidiennes, il ajoute qu'il est indispensable de « travailler » en faveur d'une paix juste. C'est ce qu'il fait, en invitant les différentes confessions à venir dialoguer au Centre islamique.
« Il existe un mur d'ignorance, d'opinions erronées et de malentendus qu'il faut abattre », déclare Ghazi Khankan. « Nous devons parler en faveur de la justice et contre ceux qui enseignent la haine dans les deux camps. » Il recommande la tenue de réunions et de conférences aux États-Unis et au Proche-Orient pour que les chrétiens et les juifs apprennent à connaître les musulmans dans tous les domaines de la vie. Il estime qu'il est également nécessaire d'établir la confiance entre les peuples.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !