La Société d’édition de la Christian Science commença à faire paraître des brochures en portugais sur la Christian Science dans les années 20, mais ce n’est que vers la fin des années 40 que la parution régulière d’articles sur la Christian Science en portugais devint réellement nécessaire. A cette époque, il existait une édition espagnole du Héraut qui était trimestrielle, et, en avril 1947, on y ajouta un article traduit en portugais.
Vers la fin de 1948, Roy Garrett Watson, alors Trésorier de L’Église Mère, se rendit au Brésil et revint à Boston, très impressionné par l’activité des églises dans ce pays et par le besoin évident d’une plus grande quantité de publications sur la christian Science en portugais. Ces publications n’étaient pas seulement destinées aux membres, mais aussi aux visiteurs des salles de lecture dont le nombre grandissait à mesure que se formaient de nouvelles Églises du Christ, Scientistes.
Lorsque M. Watson aborda le sujet de l’augmentation d’articles en portugais, les fidéicommissaires de la Société d’édition de la Christian Science estimèrent que la demande n’était pas encore assez importante pour justifier ces dépenses. Ils prirent néanmoins la décision de publier trois nouvelles brochures en portugais, mais n’envisagèrent pas la création d’une nouvelle édition du Héraut.
L’édition portugaise du Héraut continue de répondre aux besoins des pays qu’il sert.
Pendant son séjour au Brésil, Watson avait aussi découvert qu’il devenait nécessaire d’uniformiser la qualité des traductions. Dans les années qui suivirent, les fidéicommissaires de la Société d’édition prirent des mesures pour fournir un bon niveau de travail dans toutes les langues dans lesquelles paraissaient des publications.
Watson recommanda d’ajouter à l’unique article en portugais (qui paraissait dans l’édition espagnole) d’autres articles, un éditorial et un témoignage dans cette langue. Les pénuries et les dépenses de l’aprèsguerre continuaient d’être discutées en détail par les fidéicommissaires de la Société d’édition. Au fil des conversations, il naquit l’idée d’un Héraut qui combinerait trois langues, l’espagnol, le portugais et l’italien, Héraut qui fut appelé parfois le Héraut européen.
Cette approche comportait des avantages pratiques. D’abord, cela permettait d’augmenter la quantité d’articles accessibles aux lecteurs espagnols et portugais, car, en général, les gens qui lisent l’espagnol sont capables de lire le portugais, et viceversa. Ensuite, cela donnait la possibilité d’offrir une publication en italien sans devoir créer un nouveau magazine, en période de pénurie. Cette nouvelle édition trilingue parut en juillet 1951 et remplaça l’édition espagnole originale.
Au cours des années 50, des discussions eurent lieu concernant la possibilité de faire paraître trois éditions unilingues trimestrielles dans ces trois langues. En outre, le conseil des fidéicommissaires de la Société d’édition et Le Conseil des directeurs de la Christian Science envisageaient la même chose pour le Héraut scandinave. Des difficultés financières découlant de la Deuxième Guerre mondiale, ainsi que la pénurie de papier et de personnel, les empêchèrent d’aller de l’avant. Il durent attendre janvier 1959. C’est à cette date que les éditions multilingues devinrent des éditions unilingues trimestrielles du Héraut de la Christian Science. Puis, en 1973, le Héraut portugais devint un mensuel.
Parmi les détails à régler se trouvait la traduction du nom du Héraut en portugais. Les souvenirs d’Heloísa Rivas, à la page 16, nous font découvrir, de l’intérieur, la façon dont les gens qui traduisaient pour le Héraut prirent leur décision.
Depuis, l’édition portugaise du Héraut a continué d’évoluer et de répondre aux besoins des pays qu’il sert, le Brésil, le Portugal et l’Angola. La majorité de ses lecteurs se trouvent au Brésil. En 1990, une version radiophonique du Héraut portugais a été lancée, et elle diffuse toujours aujourd’hui ses émissions quotidiennes sur les ondes courtes. Une radio locale de Saõ Paulo retransmet une émission chaque semaine.
Ainsi que les témoignages des pages suivantes le montrent, l’édition portugaise a, dès sa création, conduit ses lecteurs vers la guérison. Elle continue de se transformer dans le but de soutenir les individus et les nations.
Quel titre pour le Héraut portugais ?
Heloísa Rivas, qui parle couramment six langues, est professeur et praticienne de la Christian Science. Elle donne également des conférences sur la Christian Science dans le monde entier. Elle connaît le Héraut depuis son enfance au Brésil. Son père était l’un des traducteurs free-lance travaillant de chez lui pour la Société d’édition de la Christian Science.
Mme Rivas, qui a été récemment rédactrice chargée de la publication du Héraut de la Christian Science, parle des débuts de cette revue au Brésil.
L’édition allemande du Héraut a fait partie de la vie de ma famille dès 1916, et j’ai grandi entourée des exemplaires de cette époque car mon père et ma grand mère les lisaient et les conservaient. L’édition portugaise a paru dans les années 50.
Mon père a toujours participé aux traductions pour la Société d’édition de la Christian Science. Un jour, alors que j’étais encore toute petite et que je jouais sous la table à la maison, mon père et deux autres membres d’église étaient plongés dans une discussion passionnée. Voici ce dont je me souviens: ils avaient reçu un message de L’Église Mère les informant que, désormais, il devait y avoir une édition portugaise du Héraut, et ils se demandaient comment ils allaient l’appeler. J’exagère sans doute un peu, mais il me semblait que les piles de dictionnaires touchaient le plafond. Ils recherchaient dans ces ouvrages le terme « héraut » qui se traduit littéralement en portugais par arauto, mot peu usité à cette époque.
Si vous regardez dans n’importe quel dictionnaire, vous y lirez ce qu’était autrefois un héraut; or en anglais et dans un grand nombre de langues on a utilisé ce terme comme titre de publication, et beaucoup de revues et de journaux de langue anglaise ou espagnole portent ce nom. Tel n’est pas le cas pour le mot arauto qui est pratiquement inconnu et décrit « une personne qui proclame ou annonce des nouvelles importantes ». Par le passé, cette personne était très souvent le porte-parole du roi.
Je me rappelle, comme si c’était hier, que mon père avait frappé du poing sur la table et avait dit: « Personne ne sait ce que veut dire ce mot ! » Et ils en ont discuté pendant des heures. Puis l’un d’eux a dit: « C’est le nom que Mary Baker Eddy lui a donné et ce sera le nom de cette revue. » Bien des années ont passé, et la couverture du Héraut était toujours le seul endroit où l’on voyait ce mot.
Or, tout récemment, je l’ai vu dans des journaux et des revues au Brésil, et je ne pouvais en croire mes yeux. On l’emploie maintenant pour parler d’un messager ou d'un porteur de bonnes nouvelles. Je suis ravie que ce terme soit utilisé aujourd’hui dans un contexte différent et surtout que le Héraut continue d’évoluer. Je me revois encore si clairement en train d’écouter ces trois hommes cherchant désespérément pendant des heures pour dire finalement: « Bon, c’est le nom qu’elle lui a donné et c’est celui que nous allons utiliser. »
Ingénieur chimiste, j’avais développé une façon de penser scientifique, et j’étais persuadé que tout ce qui avait à voir avec le spirituel était extrêmement subjectif. Pour moi, la religion n’avait rien de concret.
Après avoir obtenu une maitrise, j’ai eu la possibilité d’aller préparer un doctorat en Allemagne. Je me suis donc installé à Berlin avec ma famille, et nous y avons habité pendant quatre ans.
J’étais un athée convaincu...
Pendant ce séjour en Allemagne, j’ai commencé à me dire que l’homme n’était pas seulement fait de matière. D’autres éléments entraient en jeu, les émotions par exemple. Je me suis donc mis à faire des recherches, et j’ai découvert que l’esprit influence le corps. J’ai beaucoup lu sur ce sujet au cours des huit années qui ont suivi.
Entre-temps, nous sommes rentrés au Brésil. Un jour, en 1983, ma femme a rapporté à la maison Le Héraut de la Christian Science qui m’a énormément intéressé parce qu’il abordait le thème de l’Entendement exerçant sa domination sur le corps. Il s’agissait de Dieu, non de l’esprit humain.
En 1987, j’ai eu un très grave problème de santé. Chaque fois que je me fatiguais un peu, mon nez se mettait à saigner, jusqu’à ce qu’un jour, il soit complètement bouché. Je suis allé voir un spécialiste. Les analyses ont montré que j’avais un cancer du nez. Seule ma femme connaissait le diagnostic. Elle ne m’a rien dit pendant quelques jours, mais a appelé un praticien de la Christian Science pour qu’il l’aide par la prière. Elle espérait que j’allais me mettre à avoir confiance en Dieu, et que j’allais demander un traitement par la prière.
Le médecin avait fixé un rendezvous quatre mois plus tard, au cas où une opération chirurgicale serait nécessaire, et m’avait prescrit, entre temps, une radiothérapie ou chimiothérapie. En écoutant ma femme m’expliquer tout cela, j’ai été profondément ébranlé. Je ne savais que faire. Je n’avais jamais cru que quelqu’un puisse guérir par la prière.
Après avoir beaucoup réfléchi, et sachant que le traitement médical ne garantissait pas que je survivrais, je me suis dit en quittant mon travail un soir: « Giuseppe, qu’as-tu à perdre ? Si tu dois mourir, que ce soit au moins en faisant quelque chose que tu n’as encore jamais fait ! » C’est ainsi que j’ai décidé de m’en remettre à Dieu.
J’ai demandé à un praticien de la Christian Science de prier avec moi, et je me suis consacré tout entier à l’étude de la Christian Science. J’ai essayé de comprendre ces nouvelles idées qui me paraissaient bizarres. J’ai commencé à aller aux services religieux et à lire les livres et les publications vendus dans la salle de lecture de l’église du Christ, Scientiste, que je fréquentais. Je ne progressais pas vite, parce que je me débattais avec une peur intense qui m’accablait. Pendant de très, très nombreuses nuits, je me réveillais, terrifié. Mais je lisais Science et Santé de Mary Baker Eddy ou le Héraut jusqu’à ce que je trouve quelque chose qui me calme. J’ai lu Science et Santé, du début à la fin, au moins quatre fois.
J’ai lu le chapitre intitulé « La prière » au moins vingt fois. Ce chapitre s’ouvre sur une phrase puissante: « La prière qui réforme les pécheurs et guérit les malades est une foi absolue dans le fait que tout est possible à Dieu — une compréhension spirituelle de Dieu, un amour détaché de soi-même. » (p. 1) Je lisais constamment cette phrase ainsi que d’autres passages.
Je faisais face à un fait nouveau: Je devais croire en quelque chose qui me paraissait insolite, me confier en Dieu, m’en remettre aux concepts exposés par Mary Baker Eddy et les méditer afin d’être convaincu de leur bien-fondé. Ce n’était pas facile. Dès le début du traitement par la Christian Science, mon nez s’est arrêté de saigner, alors que je n’étais pas persuadé de l’efficacité de ce traitement. Quatre mois plus tard, je suis allé chez le médecin comme prévu. Celuici m’a examiné les yeux, le nez, la gorge et les oreilles. Puis il a procédé à un deuxième examen avec un instrument spécial. Il était stupéfait et il m’a demandé: « Avez-vous suivi le traitement que je vous avais prescrit ? » « Non, docteur », lui ai-je répondu. « Pourquoi ? », m’a-t-il demandé. « Parce que j’ai choisi de me confier en Dieu », lui ai-je dit. Il était abasourdi. Il m’a dit que le cancer était pratiquement guéri. Il m’a ensuite dit que si je subissais une opération mineure et que je suivais le traitement qu’il avait recommandé, je guérirais certainement. Je l’ai remercié de ses conseils, mais je lui ai répondu que je préférais avoir recours au traitement par la prière. C’est la dernière fois que j’ai vu le médecin.
Trois semaines après cette conversation, j’étais encore plein d'appréhension, mais j’ai continué à prier. J’avais toujours des insomnies et je devais travailler toute la journée. J’avais des gens sous mes ordres, mais personne n’a jamais rien remarqué d’anormal. Parfois, c’était comme s’il y avait deux personnes en moi. L’une prenait position en faveur de la justice de l’Amour divin, du pouvoir de la Vérité et de la spiritualité, tandis que l’autre avait très peur. Un dimanche, alors que nous avions un barbecue à la maison, j’ai passé la journée enfermé dans une lutte intérieure. Je ne me sentais pas bien. Après le départ de tous les invités, je me suis assis seul dans ma chambre, et j’ai prié. Puis, pour la première fois, je me suis senti extraordinairement fort, au point que ma confiance totale en Dieu dominait la peur. J’ai éprouvé un sentiment merveilleux de bien-être, j’avais confiance et j’ai pu me détendre. Pour la première fois depuis des mois, j’ai dormi toute la nuit sans peur. Depuis ce jour-là, je n’ai plus ressenti aucun symptôme de ce cancer et je n’ai pas fait de rechute. Cela s’est passé il y a plus de quatorze ans.
Lorsque tout semblait être terminé pour moi, c’est alors que j’ai commencé une nouvelle vie. Je ne pense plus du tout la même chose qu’avant, quant au sens de l’existence et à l’origine de l’homme. Même si j’ai encore beaucoup à apprendre, un grand nombre de choses se sont améliorées dans ma vie au cours de ces quatorze dernières années. L’atmosphère qui entoure notre maison s’est considérablement transformée parce que ma pensée a changé de façon radicale.
Rio de Janeiro, Brésil
La Christian Science en Angola
En avril 1983, trois personnes, ayant entendu parler de la Christian Science en République Démocratique du Congo (qui s’appelait alors le Zaïre) se rencontrèrent en Angola lors d’une réunion de famille. Peu de temps après, elles commencèrent à tenir des services le dimanche et des réunions de témoignage le mercredi chez un particulier. Ces modestes réunions permirent d’accroître le nombre de lecteurs de Science et Santé et amenèrent la création de la Société de la Christian Science de Hoji-Ya-Henda. Ces trois scientistes chrétiens s’appelaient Alulu Lukulu Mundienzo, Nakuntima Kisuvidi et Nsimba Nteka Wankosi.
En 1986 se forma un autre groupe qui constitue aujourd'hui la Société de la Christian Science de Palanca. Puis, un autre groupe fut créé pour devenir ensuite Première Église du Christ, Scientiste, Luanda, église qui a été reconnue officiellement par le gouvernement angolais en 1992.
Science et Santé, que l’on trouve dans de nombreuses librairies de la capitale et de sa région, a été envoyé aux autorités angolaises, et même au Président de la République et à son épouse, à plusieurs ministres ainsi qu’au président de l’Assemblée nationale. En juin 2001, on a envoyé l’édition africaine du Héraut aux ambassadeurs résidant en Angola, à tous les ministres et aux membres de l’Assemblée nationale.
Des annonces sur la Christian Science passent à la radio nationale d’Angola en kikongo et en lingala, en portugais, en français et en anglais. Des articles tirés du Héraut de la Christian Science ont paru dans Folha 8, le journal indépendant le plus lu d’Angola.
Luanda, Angola
Quand j’avais huit ans, je vivais en Afrique, en Angola, où la guerre d’indépendance allait bientôt commencer. J’étais élève dans une école confessionnelle et j’avais une grande soif de spiritualité. Chaque mois, j’achetais une revue religieuse que je lisais d’un bout à l’autre, mais un jour j’ai pris conscience que j’en voulais davantage. J’ai refermé cette revue et je me suis dit: « Un jour, je trouverai une revue qui satisfera mon désir de paix. » Cela se passait en 1960.
Le Héraut, la réponse à ma quête spirituelle
En 1976, je vivais en Belgique où j’effectuais un stage. Le temps était gris, très froid, et tout était différent de l’environnement auquel j’étais habituée. Un jour, alors que j’étais particulièrement triste et désorientée, une femme qui travaillait dans le même service que moi m’a donné quelques exemplaires du Héraut de la Christian Science; elle était passée à son église m’a-t-elle dit, et en voyant ces revues en portugais elle avait pensé que j’aimerais les lire. Celles-ci m’ont paru intéressantes, mais je ne les ai pas lues tout de suite.
Une semaine ou deux avant mon départ de Belgique, je suis tombée malade, souffrant de troubles respiratoires. Étant donné que j’avais envoyé toutes mes affaires au Portugal, je n’avais plus que ces revues à lire à la maison; je les ai donc feuilletées et j’ai commencé à lire les témoignages de guérison spirituelle. J’avais enfin trouvé le genre de guéison que je croyais être possible, mais que je ne savais pas être effectivement pratiquée de nos jours. Et mes problèmes respiratoires ont disparu.
Les articles de ces revues mentionnaient Science et Santé avec la Clef des Écritures. Or j’avais toujours regretté de ne pas connaître la Bible. De retour au Portugal, j’ai donc écrit à Boston pour obtenir un Science et Santé, comprenant que l’ouvrage en question comportait la « Clef des Écritures ». Quand il est arrivé, il m’a paru bien volumineux. J’ai également acheté une Bible et je me suis mise à les lire tous les deux.
L’année suivante, alors que j’étais enceinte de huit mois, j’ai fait une chute et je me suis cassé le bras. J’ai passé la nuit assise sur mon lit; en priant j’ai pris conscience du fait que les enfants d’Israël avaient certainement su qu’ils seraient sauvés et qu’il me fallait avoir le même type de confiance en Dieu. Au petit matin, la douleur a cessé. Je ne suis même pas allée voir un médecin. Je savais à présent que je pouvais me guérir moi même et je me suis entièrement appuyée sur la Christian Science. Le mois suivant, je ne pouvais même pas allonger le bras, mais personne ne s’en est aperçu. Toutefois, à la naissance du bébé, j’ai étendu naturellement les deux bras pour le tenir. La guérison était complète.
Je n’avais jamais associé le Héraut avec une église, mais aujourd’hui je sais que cette revue m’a permis d’accéder à la Christian Science. J’ai essayé de trouver d’autres scientistes chrétiens et, en 1977, j’ai rencontré une femme qui étudiait la Christian Science et dont le plus grand désir était d’établir une église; j’avais le même enthousiasme qu’elle et, en 1979, nous avons commencé à tenir des services, à Lisbonne, chez une Argentine qui était scientiste chrétienne. En quelques années, ce groupe s’est transformé en Société de la Christian Science et, avant la fin des années 80, nous avons fondé une Église du Christ, Scientiste.
Par la suite, quelques personnes de Vila Nova de Gaia, tout près de Porto, qui commençaient à s’intéresser à la Christian Science, nous ont demandé de la documentation à ce sujet. Nous les avons donc aidés de diverses façons, et le groupe de cette ville devint ensuite une Société de la Christian Science. Des personnes de la ville de Porto, qui ont aussi assisté aux services de Gaia, ont fondé leur propre groupe qui, plus tard, devint à son tour une Société. C’est ainsi que l’Église de Lisbonne et ces deux Sociétés constituent vraiment une seule grande famille.
En ce qui me concerne, le Héraut m’a donné accès à la Science du Christ, et il peut faire la même chose pour d’autres personnes; il présente la Christian Science en action, lors qu’elle est mise en pratique dans la vie quotidienne. Cette revue m’a changé la vie et m’a fait connaître la Christian Science de façon toute naturelle. Je ressentais un grand froid tout au fond de moi, et le Héraut est le rayon de soleil qui est venu me réchauffer.
Lisbonne, Portugal
Un peu d’histoire...
1951
• Première parution du Héraut espagnol/portugais/italien
1952
• Aménagement du canal qui relie Amsterdam au Rhin
• Fondation de la Communauté Européenne du Charbon et de l’Acier (C.E.C.A.), précurseur de la Communauté Économique Européenne
1953
• Au Mexique, droit de vote accordé aux femmes
• Indépendance des protectorats français du Cambodge et du Laos
1954
• Fin de la guerre d’Indochine et indépendance du protectorat français du Vietnam
1956
• Indépendance des protectorats français du Maroc et de la Tunisie
1959
• Première parution des Héraut unilingues en danois, norvégien, suédois, espagnol, portugais et italien
• Aménagement de la voie maritime du Saint Laurent, au Canada
 
    
