A l’heure où les politiques, les économistes, les écologistes et tous les grands penseurs modernes définissent les défis à relever dans le cadre d’une vision globale du monde, on peut se demander si, du fait de cette interdépendance des pays et des continents, la prière n’est pas appelée à jouer un plus grand rôle dans le monde. N’aurait-on pas trop tendance à limiter le pouvoir de la prière à la résolution de problèmes personnels, comme si ces problèmes n’avaient aucun rapport avec ce qui se passe dans le reste du monde ? Face au concept de la mondialisation, on peut même se demander si la notion de « problèmes personnels » a encore un sens aujourd’hui.
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