Savoir que des innocents souffrent nous brise le cœur. En temps de guerre, par exemple, des soldats infligent des blessures à des innocents auxquels, par ailleurs, ils ne veulent peut-être aucun mal.
Ces soldats seront peut-être tourmentés plus tard en repensant aux actes qu'ils auront commis. Si nos prières pour la paix n'ont pas pu empêcher ces souffrances, sommesnous droit de nous attendre à ce que ces prières soulagent du chagrin et atténuent les dommages futurs ? La réponse est un oui réfléchi mais pas hésitant. La prière qui reconnaît la présence de Dieu exerce vraiment un pouvoir sur la terre.
Le problème, c'est que si nos prières ne se sont pas avérées efficaces de la façon dont nous l'aurions voulu, nous sommes tentés d'arrêter de prier. Dès maintenant, nous pouvons refuser de céder à cette tentation pour étudier et méditer afin de mieux comprendre Dieu et d'affermir notre foi.
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