En repensant à tous les bienfaits que nous recevons depuis de nombreuses années, depuis que la Christian Science est devenue le rocher de notre salut, je garde toujours présente à l'esprit nos premières guérisons.
Quand j'étais petite, nous vivions dans ce qui est aujourd'hui l'Indonésie. Chaque dimanche, nous allions dans les montagnes pour nager et pratiquer d'autres sports. Or, le lendemain, j'avais toujours de la température et je souffrais d'un mal de gorge. Je ne pouvais pas retourner à l'école pendant plusieurs jours. Mais le dimanche suivant, je me sentais bien et le même scénario se répétait.
Alors, au bout de quelque temps, mes parents ont jugé opportun de me faire examiner par un médecin. Ce dernier a conclu que seule une opération du nez pourrait remédier à la situation. J'ai un très mauvais souvenir de cette intervention qui a provoqué des effets secondaires pénibles. Mais ce qui était encore pire, c'est que le docteur a affirmé qu'une deuxième opération serait nécessaire dans les six mois à venir.
Nous ne savions plus quoi faire, mais ma mère ne cessait de répéter: « Il doit y avoir un autre moyen, un meilleur moyen. » Elle l'a redit à l'une de ses amies qui était Scientiste Chrétienne. Cette amie a répondu à ma mère que si celle-ci était convaincue qu'il existait un autre moyen, elle l'emmènerait voir une praticienne de la Christian Science. Avec beaucoup d'amour, cette praticienne nous a exposé les idées fondamentales de la Christian Science, c'est-à-dire que nous sommes l'expression parfaite de Dieu, l'Esprit, créée à Son image et à Sa ressemblance. Dieu est bon et ne connaît pas le mal. Donc, l'homme, Son reflet spirituel, est bon et en bonne santé.
Nous étions persuadés que nous avions trouvé le chemin.
A mesure que nous comprenions et mettions en pratique ces vérités, nous constations que l'inflammation diminuait en intensité et en fréquence, jusqu'à ce qu'elle finisse par disparaître complètement.
Au bout de six mois, nous sommes de nouveau allés chez le médecin. Il m'a examinée et après un certain temps, il a déclaré avec hésitation: « Je ne sais pas ce qui s'est passé, mais il n'est plus nécessaire d'opérer. » Les mots nous manquent pour exprimer notre gratitude. Nous étions persuadés que cet « autre moyen » avait transformé notre existence et que nous avions trouvé le chemin, chemin que nous n'avons jamais perdu.
Depuis, nous avons eu de nombreuses preuves de la toute présence de Dieu, de Son pouvoir de guérison et de protection.
Je suis très reconnaissante à Mary Baker Eddy d'avoir découvert la Christian Science et de l'avoir fait connaître au monde afin que tous puissent profiter de cette glorieuse vérité.
La Haye, Pays-Bas
