A l'automne 1990, une enflure douloureuse me rendait pénible toute position assise. C'était quelque peu inquiétant. Dès le milieu de la semaine, l'enflure s'est rapidement transformée en un furoncle extrêmement douloureux qui, à présent, accaparait toute mon attention. Je savais que ce problème pouvait être guéri par la Christian Science, mais la douleur aiguë me semblait très convaincante. J'avais beaucoup de peine à m'asseoir et de nombreux autres mouvements m'étaient aussi pénibles.
Debout ou allongée, j'essayais de prier, d'affirmer mon unité avec Dieu, mais j'étais sans cesse interrompue par des questions comme celles-ci: Pourquoi cela m'arrive-t-il, à moi ? Qu'est-ce que j'ai fait de mal ? Comment est-il possible de comprendre encore mieux que l'homme est une idée spirituelle ? Cette dernière question me déprimait tant; je me sentais si matérielle ! Puis il m'est venu à l'esprit qu'il n'existe pas d'inflammation devant Dieu; rien d'impie, de cruel, d'irréel n'est capable de m'irriter ou de m'affliger. Cela a orienté ma pensée dans la bonne direction
Je suis allée de l'avant, la pensée fixée sur la toute-puissance divine.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !