Ce qui me frappe plus que toute autre chose dans la vie de Jésus-Christ, c’est que sa pensée était fermement ancrée en Dieu.
En Dieu, il n’existe rien de mauvais, rien de nuisible. Par conséquent, nous attacher fidèlement à Dieu par la pensée nous place sous la protection divine.
Par exemple, nous lisons dans la Bible qu’à un moment donné une foule en colère « le chass[a] de la ville, et le men[a] jusqu’au sommet de la montagne sur laquelle leur ville était bâtie, afin de le précipiter en bas ». Mais Jésus, « passant au milieu d’eux, s’en alla » (voir Luc 4:28–30). Il est évident que ceux qui avaient l’intention de lui nuire n’étaient pas motivés par Dieu. On pourrait qualifier l’intention malveillante qui gouvernait leurs actes de mauvaise pratique mentale, en opposition à la pratique du Christ qui désire bénir.
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