« Est-ce trop de dire que ce livre est le levain qui fait lever toute la pâte de la pensée humaine? On peut trouver la trace de ses enseignements dans chaque étape de progrès mental et spirituel, en chaire et dans la presse, dans la religion et dans la morale, et s’apercevoir que ces pas en avant ont été soit décrits soit indiqués dans cet ouvrage. Il a fait monter la pensée dans le char rapide et puissant de l’Amour divin, qui, aujourd’hui, fait le tour du monde entier. »
Le livre révolutionnaire de Mary Baker Eddy, Science et Santé avec la Clef des Écritures, fut publié pour la première fois il y a 125 ans. L’action transformatrice de ce livre se manifeste notamment à travers le désir, qui se répand de plus en plus, de comprendre ce qu’est la santé, d’établir une fondation plus solide pour des relations durables et de se sentir davantage en sécurité en connaissant Dieu. Dans le monde entier, les gens trouvent des réponses dans Science et Santé, leur vie en est enrichie, transformée et ils trouvent la guérison grâce à son message pratique. La reconnaissance et l’amour incitant ceux qui étudient Science et Santé à le faire connaître autour d’eux prouvent aussi l’effet réformateur qu’a ce livre sur la conscience humaine.
« Il m’a révélé le sens symbolique/spirituel de la Bible. Par “symbolique”, je veux dire opposé à la signification matérielle. » (États-Unis)
Depuis sa parution, il y a 125 ans, plus de neuf millions d’exemplaires de Science et Santé ont été vendus en dixsept langues et en Braille anglais. La quantité de livres vendus et distribués cette année est la plus importante de toute son histoire, ce qui prouve qu’il est l’un des ouvrages les plus efficaces et les plus durables traitant de la spiritualité et de la guérison. Ce fait a été reconnu récemment de diverses façons:
• Honoré par L’Association nationale pour les livres écrits par des femmes, en 1992, comme faisant partie des « soixante-quinze livres écrits par des femmes dont les mots ont transformé le monde ».
« Géant. Que peut-on dire d’un livre d’une telle portée. » (Angleterre)
• Figure sur la liste des ouvrages recommandés par le symposium « La spiritualité et la guérison en médecine » 1995—2000, de l’École de médecine de Harvard, l’Institut médical esprit/corps (U.S.A.) et le Centre médical des diaconnesses Beth Israel (U.S.A.).
• En 1995, désigné, à la suite d’un vote, par l’Association des libraires indépendants de Californie du nord comme le titre à la plus grande « longévité », car il est paru pour la première fois il y a plus de cent ans, et suscite un regain d’intérêt aujourd’hui.
« Je trouve que dans sa fermeté et sa simplicité [Science et Santéest] l’un des messages les plus faciles et les plus accessibles qui aient été transmis au monde moderne... J’ai beaucoup avancé depuis ma première rencontre – et mon parcours spirituel m’a entraîné vers de nombreux autres lieux – mais comme des couches qui se superposent, ma foi et ma compréhension sont renforcées. » (Inde)
Afin de fêter l’anniversaire de al parution de Science et Santé, une série intitulée « Célébrer 125 ans d’exploration de la spiritualité et de son application pratique » portera sur la façon dont Science et Santé a prouvé qu’il était et continue d’être un outil essentiel au parcours spirituel de chacun. Cette série qui durera un an comprendra: • Une sélection des récits de guérison les plus marquants de ces 125 ans qui montrent comment Science et Santé a transformé des vies.
• Des commentaires de penseurs contemporains sur le rôle et l’influence que Science et Santé a exercé et continue d’exercer dans leur domaine.
• Des faits historiques concernant le parcours accompli par Mary Baker Eddy lors de la rédaction, de la révision, de la publication et de la vente de Science et Santé.
Cette série vous invite à explorer l’aspect pratique du message de guérison contenu dans Science et Santé – un message qui a comblé de bienfaits des millions de personnes au cours des 125 dernières années et qui continue encore aujourd’hui. Nous sommes impatients d’apprendre ce que Science et Santé vous apporte.
« Je pense que c’est un livre tout simplement fantastique! Je ne peux pas m’arrêter de le lire, je le prends chaque fois que j’en ai la possibilité. » (Nouvelle-Zélande)
Science et Santé avec la Clef des Écritures: une perspective historique
Mary Baker Eddy passa plus de quatre décennies à communiquer au monde les lois divines de la Vie, de la Vérité et de l’Amour. Elle guérit, enseigna, prêcha, donna des conférences, prodigua des conseils et publia. Il est significatif que, pendant trente-huit ans, elle s’attacha surtout à écrire et à réviser Science et Santé avec la Clef des Écritures et à s’assurer qu’il soit à la disposition de tous.
Mary Baker Eddy est née au début du XIXe siècle, à une époque où les femmes rencontraient des obstacles dès qu’elles cherchaient à faire autre chose que s’occuper de la maison et élever les enfants. Néanmoins, quand on demanda à la jeune Mary Baker ce qu’elle ferait plus tard quand elle serait grande, elle répondit avec assurance: « J’écrirai un livre. »
« Ma vie s’est transformée sur le plan spirituel. Et où que je sois où que j’aille, je sens toujours le pouvoir de protection et l’amour de Dieu. » (Kenya)
Dès l’enfance, Mary Baker Eddy tombe très souvent malade. Vers l’âge de vingt-trois ans, elle se retrouve sans un sou lorsque son mari décède quelques mois avant qu’elle mette au monde leur enfant unique. A présent, veuve et mère, elle est obligée de vivre de la charité des membres de sa famille et de ses amis.
Constamment à la recherche d’une méthode fiable qui lui permettrait de recouvrer la santé, elle essaie la plupart des procédés qui existent au XIXe siècle et finit toujours par être déçue. Puis, en 1866, en lisant dans la Bible le récit d’une des guérisons opérées par Jésus, elle est guérie d’une blessure si grave que de nombreuses personnes, notamment son médecin, ne pensaient pas qu’elle survivrait. Elle découvre un système scientifique de guérison spirituelle qu’elle nommera plus tard « Christian Science ».
« Je suis ministre du culte et l’œuvre de Mary Baker Eddy m’est une aide précieuse dans mon travail. » (États-Unis)
Dans son autobiographie, elle parle de ce qu’elle vécut ce jour-là: « Ma guérison immédiate des effets d’une blessure, causée par un accident, blessure que ni la médecine ni la chirurgie ne pouvaient guérir, fut la chute de la pomme qui m’amena à découvrir comment être bien portante moi-même, et comment rendre les autres bien portants. » (Rétrospection et introspection, p. 24)
Après sa découverte de la nature spirituelle de la guérison en 1866, Mary Baker Eddy, alors connue sous le nom de Mrs. Glover, commence à pratiquer la guérison chrétienne et à enseigner aux autres cet art de la guérison. En mai 1868, elle se rend dans le New Hampshire, à la demande de la famille de Mrs. Mary Gale qui est mourante, atteinte de la pneumonie. Informée par le docteur présent qu’il n’y a plus d’espoir, Mary Baker Eddy guérit néanmoins cette femme en l’espace de quelques minutes. Le médecin stupéfait lui recommande d’écrire un livre sur son système de guérison afin de le faire connaître au monde.
« Les paroles de Mary Baker Eddy prennent vie. C’est comme si elle me parlait. Mary Baker Eddy met les points sur les i dans ce chapitre sur la prière... [Elle] dit ce qui est. Je le lis très lentement, mais ce livre est puissant, très clair. Elle nous dit que ça ne suffit pas de prier pour retourner ensuite à ce que nous faisions. [Nous] devons changer. » (États-Unis
Ce n’est que quatre ans plus tard, après avoir étudié et pratiqué encore davantage cette Science de la guérison que Mary Baker Eddy se consacre entièrement à la rédaction de son livre auquel elle donne comme titre provisoire: « La Science de la Vie ». Sans héritage, sans domicile fixe et sans le soutien de sa famille, elle se bat pour vaincre d’énormes obstacles s’opposant à la rédaction et à la publication de son livre. Des années plus tard, lors d’une conversation avec l’artiste James Gilman, elle décrira cette période ainsi: « J’ai déménagé neuf fois pendant que j’écrivais mon livre et cette chaise était le seul meuble que je possédais et pratiquement mon seul bien. Mon bureau était simplement un grand morceau de carton rigide. Je n’avais aucune raison de déménager si ce n’était l’antagonisme que je ressentais à l’encontre des idées que j’énonçais et de moi-même parce que je les énonçais. » (Painting a Poem, p. 132)
« Mes patients réagissent de façon extraordinaire à la vérité de l’être. » (Un médecin aux États-Unis)
