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Une nuit, vers quatre heures du matin, j’entendis...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de février 1998


Une nuit, vers quatre heures du matin, j’entendis résonner un violent orage dans le lointain. Les éclairs déchiraient le ciel et le tonnerre grondait avec fracas. Un peu impressionné par ce boucan, je repensai à l’ordre que Jésus donna à la tempête en lui disant: « Silence! tais-toi! Et le vent cessa, et il y eut un grand calme » (Marc 4:39) Quelle autorité! Nous pouvons tous ressentir ce calme, même au milieu du tumulte. Ce calme qui nous parle de la présence et du pouvoir divins. Cela me fait penser à une guérison que j’ai eue.

Deux blessures guéries

Il y a quelque temps, deux plaies apparurent sur mon corps, l’une sur un pouce et l’autre sur un bras. Elles m’incommodaient fortement. Comme ces blessures s’étaient infectées, ma famille et mes amis s’alarmèrent. Un ami infirmier me dit de faire attention car cela pouvait amener des complications. Une autre connaissance m’incita à mettre de la pommade et à aller voir un médecin. Bref, je devais faire face à diverses pressions et au cortège de peurs qui essayaient d’envahir ma pensée. Je me mis à approfondir mon étude de la Bible et je trouvai beaucoup d’inspiration dans ce passage de Zacharie: « Que toute chair fasse silence devant l’Éternel! » (Zacharie 2:13) Je savais que les conditions matérielles ne pouvaient me faire de tort, qu’elles n’avaient aucun pouvoir sur moi, car c’est Dieu qui est la source de la vie. Lui seul détermine les conditions de Ses enfants et ne veut pour eux que le bien. Il me fallait aligner ma pensée sur ce que Dieu connaissait de cette situation. Je réfutai énergiquement chacune des suggestions me disant que j’étais à la merci de conditions matérielles et que Dieu ne gouvernait pas Son univers. Je réaffirmai la vérité de mon être, sa perfection spirituelle, sa santé inaltérable. Je ne pouvais pas être malade car Dieu, le bien, était la seule réalité que je pouvais exprimer. Et je tins bon, m’attachant fermement à ces vérités. Ce fut une prise de position empreinte de force, mais aussi de tranquillité. « C’est dans le calme et la confiance que sera votre force », dit Ésaïe (30:15). Les plaies se vidèrent et se refermèrent, sans aucune séquelle. Le sentiment dominant que je retirai de cette expérience reste la paix.

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