« N'étant jamais né et ne mourant jamais, il est impossible à l'homme, gouverné par Dieu dans la Science éternelle, de déchoir de son état élevé. » (Science et Santé, p. 258.)
En 1996, par un mercredi après-midi pluvieux, deux semaines avant Noël, j'ai prouvé la véracité de cette affirmation. En marchant dans une flaque, sur le sol glissant d'un magasin d'alimentation bondé, je suis tombée. Je me suis retrouvée dans la position du « grand écart », une prouesse que je n'étais jamais parvenue à réaliser quand j'étais jeune. En essayant de me relever, j'ai éprouvé une douleur intense. Je suis alors restée sur le sol pendant quelques minutes pour prier. J'ai rassuré le responsable du rayon en lui disant que tout allait bien. Mon mari et moi avions immédiatement commencé à prier, en déclarant la présence de Dieu et Son pouvoir de secourir.
Puis, avec l'aide de mon mari et en m'appuyant sur un chariot, j'ai réussi à me relever. Je me suis tenue contre le mur jusqu'à ce qu'un employé du magasin m'apporte une chaise. Je craignais de ne pas pouvoir rentrer chez moi sans appeler les services d'urgence et créer de l'agitation. Dieu nous a guidés immédiatement. Nous avons téléphoné à deux de nos fils, qui sont adultes. Ils sont arrivés rapidement, et je n'oublierai jamais l'expression de tendresse et d'amour de leur visage. Avec leur aide, j'ai été ramenée à la maison sans trop attirer l'attention.
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