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C'est grâce à un ami que, pour la première fois,...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de décembre 1998


C'est grâce à un ami que, pour la première fois, l'occasion m'a été donnée de lire le livre d'étude de la Christian Science. Lorsque j'ai commencé à lire Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mary Baker Eddy, j'y ai trouvé tout ce qu'il me fallait pour assurer mon épanouissement spirituel. A cette époque j'étais littéralement envahi par un sentiment de crainte, mais grâce à ma compréhension de la constante sollicitude de l'Amour divin et de la toute présence de Dieu, cette crainte s'est évanouie.

Un jour j'avais une inflammation de la gorge, accompagnée de rhumatismes et d'un début de paludisme. C'est alors que je me suis tourné vers Dieu en prière, pour être guidé, pour revendiquer mon innocence et ma pureté spirituelles, et pour ressentir Sa présence. J'étais conscient du fait qu'à tout moment j'étais gouverné par Dieu et inclus dans l'harmonie de Son règne. Je savais aussi que le plan de Dieu pour chacun de nous n'incluait pas la maladie et que rien ne pouvait empêcher ce plan de se dérouler à l'instant même. Mon devoir était donc de laisser Dieu guider mes pensées et mes actes. Quelques jours après, la guérison était totale et j'ai recouvré ainsi la santé.

Je me suis tourné vers Dieu en prière, pour être guidé.

Plus récemment, je me suis trouvé un jour dans un état d'affaiblissement physique considérable en raison d'une infection intestinale accompagnée de maux de tête et d'une forte fièvre. Je me suis cependant rendu à la salle de lecture de la Christian Science, comme je le faisais d'habitude le samedi pour remplir ma fonction de bibliothécaire. Comme mon état allait empirant, je me suis tourné vers Dieu en prière pour revendiquer mon divin héritage de santé et de liberté. La Christian Science m'a appris que lorsque nous prions, nous ne demandons pas à Dieu de guérir une partie spécifique du corps. Nous demandons plutôt que soient manifestées en nous l'harmonie, la sainteté, la santé, la pureté, l'intelligence, l'humilité, la vitalité, la paix, etc., qualités qui sont la substance même de l'homme créé à l'image de Dieu.

Aussi me fallait-il comprendre que la maladie n'est pas une réalité mais qu'elle n'est ni plus ni moins qu'un rêve temporel, un néant, que Dieu n'a pas créé et qui n'a rien à voir avec Son image impeccable et parfaite que je suis en réalité, exempt de tout désordre physique. Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mary Baker Eddy, nous dit à ce propos que « le mal n'est qu'une illusion et il n'a aucune base réelle. Le mal est une croyance erronée. Dieu n'en est pas l'auteur. Le père supposé du mal est un mensonge. » (p. 480)

La douleur cependant persistait et devenait de plus en plus aiguë par moments. Mais dans mon for intérieur j'avais le sentiment que la guérison était déjà là.

Le dimanche matin, lorsque j'ai voulu me lever, je me sentais totalement abattu. Incapable de me tenir sur mes jambes, je me demandais si je pourrais assister au service à l'église. Pourtant, savoir que je n'étais pas un mortel vulnérable séparé de l'affection divine et de l'Amour divin, mais qu'à cet instant précis, je vivais dans le royaume spirituel de mon Père, m'a soutenu et réconforté. L'affirmation de ces faits spirituels m'a permis enfin de prendre conscience de la présence vivifiante de l'Esprit, Dieu, dans chaque aspect de ma vie, et d'obéir à l'intuition spirituelle qui m'a incité à me rendre à l'église.

Une fois à l'église, on a appris que les lecteurs n'avaient pas pu venir, et un ami et moi avons fait respectivement office de Second et Premier lecteur. J'avais cru que ce serait impossible dans l'état où je me trouvais mais tout s'est bien passé. En quittant l'église, j'étais presque totalement libéré, et deux à trois jours après, j'ai obtenu une guérison radicale. Ceci m'a prouvé combien Dieu soutenait et secourait toujours Ses fils et filles, et combien servir Sa cause avec dévouement apportait d'énormes bienfaits, y compris des guérisons.

Je suis rempli de gratitude envers mon Père-Mère Dieu qui m'a relevé de bien des tourments et je peux dire avec le Psalmiste: « Heureux celui qui a pour secours le Dieu de Jacob, qui met son espoir en l'Éternel, son Dieu ! » (Ps. 146)


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