Étant Plus Jeune, j’ai présenté les symptômes d’une très forte grippe. Pendant plusieurs jours, j’étais dans un état pitoyable, et je restais la plupart du temps au lit. Je lisais de façon intermittente des passages du livre d’étude de la Science Chrétienne, Science et Santé de Mary Baker Eddy, mais, tout en ne prenant aucun médicament, je n’acceptais pas vraiment ce que je lisais. En fait, je ne m’attendais même pas à aller mieux jusqu’au jour où un petit rayon de lumière a pénétré ma pensée, à un moment où je me sentais particulièrement mal en point: je me suis rendu compte que je passais mon temps à m’apitoyer sur moi-même en acceptant ce que j’avais entendu dire au sujet de la grippe.
Forte de cette prise de conscience, j’ai immédiatement renversé ce diagnostic personnel erroné en affirmant la réalité de mon être spirituel. Si j’avais réfuté sur-le-champ cette prétendue grippe, je me serais épargné bien des jours de souffrance. En priant, j’ai également mieux compris ma plénitude puisque j’étais le reflet parfait de Dieu. Étant Son image et Sa ressemblance, je possédais toutes les qualités de Dieu. Quelques heures plus tard, j’étais debout, en train de vaquer à mes occupations, sans aucune trace de maladie.
Trop souvent nous oublions ou négligeons de rejeter immédiatement toute suggestion erronée concernant l’idée de Dieu, l’homme. Nier tout de suite ces suggestions, c’est ne leur donner aucune place où se développer, aucune occasion de s’imposer à la pensée. Mais il faut aussi remplacer les pensées erronées par les faits spirituels de l’existence, par l’idée véritable de l’homme que Dieu a créé parfait, immortel et pur.
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