J'aimerais Exprimer toute la joie que me procure la guérison d'un mal qui durait depuis longtemps. Pendant mon enfance et mon adolescence, je souffrais souvent de difficultés respiratoires. Les symptômes disparaissaient bien grâce aux prières de ma mère ou d'un praticien de la Science Chrétienne, mais ce n'était que pour revenir à un autre moment.
Alors que j'étais à l'université, j'ai eu une crise aiguë: je ne pouvais me déplacer tant soit peu sans être hors d'haleine. J'avais très peur. Ma mère, qui avait prié bien des fois pour moi par le passé, était en vacances dans un autre État. J'ai téléphoné à un praticien pour lui demander de l'aide. J'ai étudié et prié comme je ne l'avais encore jamais fait. J'en avais assez d'être handicapé par cette difficulté et je la réfutais mentalement en comprenant qu'elle n'avait jamais fait partie de mon être véritable, mon être spirituel. Je percevais avec clarté que je ne pouvais rien éprouver qui ne vienne de Dieu, parce que j'étais Son reflet. Je savais que Dieu est la source de ma force et de mon activité, qui ne pouvaient être entravées par la maladie ou par une simple croyance mortelle. Les paroles suivantes d'un cantique me le confirmèrent: « Amour en Toi nous respirons, / Nous sommes, nous vivons. » (Hymnaire de la Science Chrétienne, n° 144)
J'ai été aussi amené à comprendre que je ne pouvais être séparé de Dieu, et qu'il m'était par conséquent impossible d'être, même pour un temps, privé de la santé et de l'harmonie que notre divin Père nous confère sans cesse. Il m'a fallu aussi prier pour surmonter la conviction que cette difficulté respiratoire était héréditaire dans la famille. J'ai dû savoir que mon héritage est entièrement spirituel et que je ne peux hériter que ce qui est bon et vient de Dieu.
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