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Je N’ai Rien de plus précieux...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’avril 1994


Je N’ai Rien de plus précieux au monde que la compréhension de Dieu que m’a procurée l’étude et la mise en pratique de la Science Chrétienne. Le fait de me sentir proche de notre Père-Mère Dieu m’a apporté de nombreuses guérisons.

Une des premières guérisons dont je me souviens s’est produite quand je fréquentais l’école primaire. Un jour, en brûlant des aiguilles de pin, je me suis aussi brûlé le doigt. On m’a dit de mettre ma main sous l’eau froide pour soulager la douleur, ce que j’ai fait pendant un moment. Mais dès que je fermais le robinet, la douleur revenait. Lorsque s’est présentée la crainte que la douleur ne disparaisse pas de si tôt, je me suis dit: « Je n’ai pas à avoir peur de souffrir longtemps; Dieu prend soin de moi, et cette brûlure peut être guérie si je me tourne vers Lui et si je reconnais que je suis en réalité l’enfant parfait de Dieu. » J’avais appris à raisonner de la sorte à l’école du dimanche de la Science Chrétienne. Je connaissais bien cette parole de Jésus: « Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira » (Jean 8:32).

Chaque semaine, à l’école du dimanche, j’entendais « l’exposé scientifique de l’être » que l’on trouve dans le livre d’étude de la Science Chrétienne, Science et Santé de Mary Baker Eddy. Je me suis mis à le répéter en moi-même, en réfléchissant au sens des mots. Il commence ainsi: « Il n’y a ni vie, ni vérité, ni intelligence, ni substance dans la matière. Tout est Entendement infini et sa manifestation infinie, car Dieu est Touten-tout » (p. 468). J’ai compris la logique de cet énoncé, et la douleur a disparu à l’instant.

Depuis, j’ai eu de nombreuses guérisons instantanées, de brûlures en particulier. Chacune a fortifié mon assurance que je ne pourrais jamais subir aucun mal à cause de ce genre d’accident, et la crainte que j’en avais est devenue plus facile à maîtriser. Un jour, j’ai glissé du siège d’une moto et me suis brûlé gravement la jambe en touchant le pot d’échappement. La douleur était très vive. Je me souviens m’être tourné vers Dieu avec confiance, et, une fois encore, la douleur s’est évanouie en très peu de temps. Il restait une cicatrice qui a fini par disparaître tout à fait. Une autre fois, je fabriquais des bougies chez une amie lorsque la cire qui chauffait sur un réchaud a pris feu. Me précipitant pour l’éteindre, j’ai placé la casserole de cire sous le robinet. Au contact de l’eau froide la cire brûlante a giclé partout, et m’a couvert l’avant-bras. J’ai nié aussitôt la douleur et évité de regarder mon bras. J’ai refusé ce que suggérait l’accident, c’est-à-dire qu’il y avait eu un instant où Dieu n’était pas maître de la situation et que j’en subissais les conséquences pénibles. Je savais que j’étais Son enfant, créé à Son image et selon Sa ressemblance, ainsi que l’affirme le premier chapitre de la Genèse.

Mon amie s’est inquiétée de la gravité de la blessure. Grâce à mes prières, je n’avais plus peur du tout et j’étais en paix, certain que la guérison serait parfaite. Je lui ai donc assuré que tout allait bien. (Elle m’a dit plus tard que je m’étais exprimé avec une telle conviction que toute crainte l’avait quittée à l’instant même.)

J’ai continué de prier tout en nettoyant la cuisine. Je me suis tourné sincèrement vers mon Père-Mère Dieu, pour bien comprendre que j’étais l’enfant qu’Il a créé, non pas matériel mais entièrement spirituel, jamais sujet aux accidents, au mal ni à la douleur, parce que je reflétais Sa bonté et Sa perfection toujours présentes. Me détournant ainsi de la blessure pour écouter Dieu grâce au sens spirituel, j’ai senti Sa présence et je me savais indemne. Je ne ressentais plus aucune douleur et, très vite, l’incident a été clos.

Une autre fois encore, j’étais invité chez mon frère, à un repas de famille. Tout à coup, j’ai eu des nausées et des symptômes de grippe. Je ne désirais qu’une chose: rentrer à la maison pour me mettre au lit. J’ai décidé cependant de prendre position et de refuser cet état de chose, puisque j’avais appris que la maladie ne faisait pas partie de la création de Dieu. C’était une occasion de plus de démontrer la puissance et la présence de Dieu.

Nous allions passer à table dans l’heure qui suivait. Je me suis donc retiré en m’excusant, afin de prier au lieu de laisser la maladie suivre son cours. J’étais tenté de chercher un endroit confortable où lire et prier. Mais je me suis dit que je ne pouvais pas nier que j’étais malade (ce que je m’apprêtais à faire dans mes prières) et en même temps contredire mes affirmations en me dorlotant. Je me suis donc assis sur le siège le plus proche, qui se trouvait être une inconfortable chaise de bois, et j’ai médité avec ferveur la Prière du Seigneur.

J’ai dû résister à la tentation de trouver un coin plus confortable. Une véritable bataille a eu lieu entre ce que m’affirmaient les sens physiques et ce que je savais être vrai grâce aux enseignements de Jésus et aux explications de la Science Chrétienne, et que j’avais déjà démontré de façon tangible dans ma vie.

J’ai lu des passages de la Bible et de Science et Santé, qui ont orienté ma prière. Je me suis efforcé de bien comprendre la vérité spirituelle concernant ma perfection et ma santé ici et maintenant, là même où l’imperfection et la maladie semblaient inévitables et évidentes. Entre-temps, mon état s’aggravait, mais, au bout d’une heure, alors que personne n’était encore passé à table, la crainte de la maladie avait été vaincue et j’ai été guéri sur-le-champ. Alors que je m’étais demandé si je pourrais rester pour le déjeuner, sans même parler de manger, j’ai fait honneur au repas en me réjouissant de sentir le grand amour et la présence constante de Dieu.

Les guérisons dont j’ai bénéficié n’ont pas seulement eu trait à la maladie et aux accidents, mais aussi à des difficultés financières, professionnelles et relationnelles. Mais ma conviction grandissante de la toute-présence de Dieu, ainsi que la joie, la paix et l’amour qui m’habitent sont bien plus importants que les preuves visibles que constituent ces guérisons.

On ne remerciera jamais assez Mary Baker Eddy d’avoir eu la générosité de communiquer au monde sa découverte de la Science Chrétienne.


Je suis l’amie qui avait été témoin de la guérison d’une grave brûlure.

Comme l’indique Mark, j’ai été très inquiète en voyant d’énormes cloques se former sur son bras. Il venait de me faire connaître la Science Chrétienne. Si cette religion m’attirait pour son approche logique du christianisme et son application pratique à la vie de tous les jours, je n’avais pas encore entrepris d’étude sérieuse et me demandais comment Mark pourrait traiter une situation requérant, à mes yeux, des soins médicaux immédiats. Mais je respectais sa façon d’aborder tous les aspects de la vie sous un angle religieux. Lorsque je lui ai demandé comment il allait, il m’a répondu que tout était en ordre, et je l’ai cru. Sa réponse m’a apporté une paix telle que j’ai oublié tout à fait la brûlure.

Trois heures plus tard, alors qu’il s’apprêtait à sortir, je m’en suis souvenue. J’ai regardé l’endroit où son bras avait été si gravement brûlé peu avant, et je n’ai vu que deux ou trois petites taches rouges. J’étais si stupéfaite que je n’ai pas voulu le laisser partir avant de m’indiquer exactement ce qu’il avait fait pour se guérir. Je pensais avoir été témoin d’un miracle, mais il m’a expliqué que je n’avais fait qu’observer la loi de Dieu en action, et que cette vérité, appelée la Science Chrétienne, était à la portée de chacun.

Mark m’a offert Science et Santé, et je me suis mise à l’étudier avec ardeur. J’ai eu vite l’occasion de démontrer ce que j’avais appris. Depuis plusieurs années, je souffrais au visage d’une maladie de la peau que les médecins avaient déclarée incurable, mais que les médicaments empêchaient de s’aggraver. Les manifestations, pénibles, s’accompagnaient souvent de fièvre si je ne prenais pas chaque jour le traitement prescrit. On m’avait aussi avertie qu’une exposition directe au soleil exacerberait les symptômes.

Lorsque ma réserve de médicaments a diminué, j’ai décidé de ne pas renouveler l’ordonnance pour prouver l’efficacité et le caractère pratique de la Science Chrétienne. Le fait de savoir depuis peu que Dieu était bon et qu’il m’aimait me donnait l’assurance que ce mal serait guéri aussi vite que l’avait été le bras de Mark.

Lorsque j’ai cessé de prendre les médicaments, tout s’est bien passé pendant trois jours. Le quatrième, au matin, les symptômes se manifestaient sous leur forme la plus grave. Me sentant malade et désemparée, j’ai appelé sans tarder une praticienne de la Science Chrétienne pour lui demander de prier pour moi. Elle m’a parlé de l’amour que Dieu me manifestait et m’a demandé d’appliquer à ma situation la Leçon biblique de la semaine. J’ai ressenti une grande paix après notre conversation et je me suis mise à prier et à lire tranquillement la leçon.

Je suis sortie ensuite pour profiter du chant des oiseaux qui saluaient ce nouveau jour. C’était une merveilleuse journée de printemps. Je me souviens avoir pensé: « Je ne connais pas encore grand-chose à la Science Chrétienne, mais puisque je suis le reflet d’un Dieu omniscient, je ne peux pas ignorer ce que je dois savoir dans la situation présente. » Je me suis rendu compte que je pouvais me tourner vers Dieu, Lui faire confiance et accepter le lien parfait qui m’unissait à Lui. Une paix et une joie profondes m’ont pénétrée, et j’ai pensé tout à coup que Dieu ne pouvait avoir de maladie de la peau. Or, si Dieu ne pouvait en souffrir, je ne le pouvais pas non plus, puisque j’étais Son reflet parfait. On peut dire que cela a été la fin du problème. Toute gêne a disparu et, peu après, la peau de mon visage était nette.

Il y a de cela seize ans, et les symptômes n’ont jamais réapparu. Je m’expose au soleil sans aucun effet négatif. J’ai souvent remercié Mark, qui, en plus d’être mon ami, est aujourd'hui mon mari, de m’avoir fait connaître la Science Chrétienne et de m’avoir expliqué le « pourquoi » de la rapide guérison dont j’avais eu la chance d’être témoin. Je continue de découvrir le tendre amour de Dieu pour chacun de Ses enfants, et j’en suis extrêmement reconnaissante.

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