Pour La Première fois depuis vingt-cinq ans, des dirigeants et des délégués de nombreux pays se sont réunis à Vienne, l’année dernière, dans le cadre de la Conférence mondiale sur les droits de l’homme organisée sous l’égide des Nations unies. Selon les statistiques de l’ONU, malgré les progrès enregistrés dans bien des pays, une bonne moitié de la population mondiale est victime d’une violation de ce que l’ONU considère comme des droits fondamentaux. La torture, les exécutions sommaires, le viol, la détention arbitraire, les actes de violence et les « disparitions en sont les exemples les plus graves.
Pour beaucoup, ces statistiques, ainsi que toutes celles qui ont été commentées au cours de la conférence, exigent une action politique volontaire et constante. Ce genre de décision fait partie des efforts légitimes entrepris pour que s’impose la justice dans le monde entier. La prière peut soutenir ces efforts tout en révélant les conditions néfastes qui conduisent à de telles injustices et en contribuant à leur élimination. Elle y parvient en amenant l’humanité à mieux comprendre Dieu et la relation qui unit l’homme à la Divinité.
C’est Christ Jésus qui a le mieux exprimé et vécu cette relation. Par sa vie et par son ministère de guérison, il a prouvé que l’homme est en réalité l’idée spirituelle de Dieu, inséparable de son divin Créateur. La résurrection du Sauveur a prouvé que Dieu a le pouvoir de nous libérer, nous et nos semblables, et ce même lorsque nos idéaux les plus élevés sont ensevelis et que tout espoir semble perdu.
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