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Dieu A Béni mon existence à...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de décembre 1994


Dieu A Béni mon existence à maintes reprises, et je me sens poussée à envoyer ce témoignage en signe de gratitude. La Science Chrétienne m’a fait découvrir que Dieu existe vraiment, et cette découverte m’a sortie d’une grande détresse.

Au lendemain de la seconde guerre mondiale, chassée de ma patrie à cause de la guerre, j’étais étudiante sans le sou dans un pays ravagé. J’étais en outre malade. La vie semblait sans espoir. Une connaissance, voyant mon besoin, me parla alors de la Science Chrétienne. Elle m’expliqua que Dieu est l’Amour infini, divin, qui ne crée ni ne connaît le péché, la maladie ou la mort, mais au contraire nous en délivre. J’appris que nous sommes en réalité l’enfant spirituel, parfait, de Dieu, et que, créés selon Sa ressemblance, « en lui nous avons la vie, le mouvement, et l’être » (Actes 17:28). J’appris que ce fait est démontrable lorsque nous acceptons ces vérités spirituelles dans notre conscience. C’étaient là des pensées merveilleuses, que mon cœur comprenait. Je lus avec une grande joie Science et Santé, le livre d’étude de la Science Chrétienne. Il transforma ma pensée, et, du même coup, ma vie.

Je recouvrai rapidement la santé et trouvai le moyen de financer mes études. La participation aux services de l’église m’apporta un remarquable soutien. En comprenant que Dieu nous dirige avec amour et que l’homme est le reflet de l’intelligence divine, je vis la période des examens comme une joyeuse occasion de sentir la présence et l’aide de Dieu.

Au cours des décennies qui suivirent, la Science Chrétienne a été pour moi un appui inestimable, non seulement dans mon rôle de mère, mais aussi dans ma carrière d’enseignante. Pour tous les problèmes physiques qui se sont présentés, Dieu S’est avéré le seul guérisseur. J’aimerais citer ici deux guérisons parmi bien d’autres.

Il y a environ vingt-cinq ans, j’éprouvai tout à coup les premiers symptômes d’une colique néphrétique. Je les connaissais bien, parce que j’avais souffert de cette maladie avant de connaître la Science Chrétienne. A l’époque, on m’avait fait des piqûres de morphine pour me soulager après des heures d’intolérables souffrances. A ce souvenir, je fus prise de panique, mais mon désir d’avoir la force de rester fidèle à Dieu prévalut.

Je suivis avec diligence ce conseil de Mary Baker Eddy: « Lorsque l’illusion de la maladie ou du péché vous tente, attachez-vous fermement à Dieu et à Son idée. Que rien hormis Sa ressemblance ne demeure dans votre pensée. Que ni la crainte ni le doute n’obscurcissent votre sens lumineux et votre calme confiance que la récognition de la vie harmonieuse — comme l’est éternellement la Vie — peut détruire tout sens douloureux de ce qui n’est pas la Vie ou toute croyance en ce qu’elle n’est pas » (Science et Santé, p. 495). Il m’a été aussi utile de penser que la colique néphrétique, comme toute autre maladie, n’a aucune intelligence ni aucune existence qui lui soit conférées par Dieu, et ne peut donc pas revenir de manière périodique. Un praticien de la Science Chrétienne pria pour moi avec une fermeté inébranlable, et mon mari m’apporta aussi son soutien.

Au bout d’une demi-heure de prière seulement, la douleur cessa et je la craignis de moins en moins. Dans la même proportion, les crises s’affaiblirent et finirent par disparaître tout à fait pour ne plus jamais revenir. Cette guérison eut beaucoup de prix à mes yeux, car elle me permit de comprendre que « la force est à Dieu » (Ps. 62:12).

Une autre guérison se produisit il y a plusieurs années. J’étais, à l’époque, Lectrice dans notre église filiale. A cause d’une difficulté dans la famille, je m’étais efforcée, avec une dévotion et une persistance particulières, de garder à la pensée la création parfaite de Dieu. Mary Baker Eddy déclare à ce sujet: « L’Amour, exhalant l’altruisme, inonde tout de beauté et de lumière » (Science et Santé, p. 516).

Un jour, à ma grande joie, je constatai que je n’avais pas utilisé mes lunettes depuis un bon moment: j’avais retrouvé une vision absolument parfaite. Pleine de gratitude, je pensai à ce passage du livre d’Ésaïe: « Avant qu’ils m’invoquent, je répondrai » (Ésaïe 65:24). Cette guérison s’est, elle aussi, avérée permanente.

Je suis très reconnaissante de l’inspiration que m’a apportée le cours de Science Chrétienne et des encouragements affectueux des membres de l’église. Un des plus grands dons que nous fait cette religion, c’est la révélation d’une richesse intérieure que nous pouvons communiquer aux autres, pour les aider aussi à notre tour.


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