Un Dimanche, après le culte, je fis une chute et mon visage heurta violemment la chaussée. Je restai quelques instants à terre, sans pouvoir me relever. Deux passants me proposèrent très aimablement leur aide. Une fois remise sur pied, je les remerciai. Puis, le visage tuméfié et le nez vraisemblablement cassé, j’allai rejoindre mon fils et ma belle-fille qui se trouvaient devant l’église.
Il me faut dire que, plusieurs années auparavant, alors que je ne m’intéressais pas encore à la Science Chrétienne, j’avais fait une chute en descendant d’un train et m’étais cassé le nez. Traitée par un médecin, j’avais eu, pendant de longs mois, des difficultés à respirer. La situation allant en empirant, le médecin avait dû me casser le nez à nouveau afin de mieux ajuster l’os. J’avais donc gardé un souvenir très pénible des suites de cet accident et, encore sous le choc, l’idée qu’il me faudrait aller à l’hôpital traversa ma pensée. Toutefois, dès que je l’eus rejoint, mon fils me rappela certains passages de la Leçon-sermon de ce dimanche (indiquée dans le Livret trimestriel de la Science Chrétienne), dont le sujet était « Adam et l’homme déchu ». Ces paroles me firent l’effet d’un réveil énergique et l’idée d’un secours autre que Dieu m’abandonna complètement.
Rentrée à la maison, je demandai à mon fils de bien vouloir continuer à prier avec moi. Nous avons reconnu et maintenu que, du fait que Dieu est tout et en tout, l’homme ne pouvait se trouver à aucun moment ni en aucune circonstance en dehors de Son royaume et de Son gouvernement. Tout ce que Dieu a fait — y compris l’homme, Son enfant spirituel bien aimé — Il le préserve, le protège et le maintient éternellement dans son état de perfection originelle.
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