Mon Mari Et Moi avons été témoins de l’effet puissant de la prière lors de la naissance de notre fille. J’avais prévu d’accoucher à la maison, en présence d’un médecin. Pendant le travail, le médecin a constaté que le cœur du bébé battait trop vite et que ma tension était élevée. Inquiet, il a décidé de m’hospitaliser. Nous étions en contact téléphonique régulier avec une praticienne de la Science Chrétienne qui priait pour moi.
Lorsque nous sommes arrivés à l’hôpital, le cœur du bébé battait normalement. L’accouchement se déroulait cependant très lentement, et ma tension était toujours élevée. Au bout d’environ dix-huit heures de travail, seule la moitié de la dilatation s’était faite. Le médecin a alors estimé qu’une césarienne serait la meilleure solution.
Nous avions toujours des contacts fréquents avec la praticienne. Nous avons aussi prié et chanté des cantiques de l’Hymnaire de la Science Chrétienne. Nous avons informé la praticienne de la décision du médecin de pratiquer une césarienne, et elle a continué de prier. Le médecin a pris les dispositions nécessaires en vue de l’opération, et, peu après, je me suis retrouvée sur une civière, prête à être emmenée en salle d’opération. Je m’accrochais à l’idée que, là même où je semblais me trouver, je demeurais en fait dans le royaume des cieux, le règne divin de l’harmonie, et que c’est bien Dieu qui « romp[t] nos liens » et nous délivre, ainsi que Mary Baker Eddy l’affirme dans un de ses poèmes.
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