A une certaine époque, je cherchais un nouvel emploi. La situation semblait bloquée; je ne recevais que des refus. Lorsque j’ai entrevu le fait que l’important n’était pas pour moi d’exercer ma profession, mais de percevoir ma vocation réelle, qui est d’exprimer la bonté de Dieu dans tous les domaines de la vie, j’ai été amenée à répondre à une petite annonce vieille de dix jours. On m’a donné l’emploi, alors que plus de quatre-vingt candidats à ce poste m’avaient précédée.
Dans The First Church of Christ, Scientist, and Miscellany de Mary Baker Eddy, nous lisons (p. 165): « Portion active d’un seul tout prodigieux, la bonté identifie l’homme au bien universel. Puisse ainsi chaque membre de cette église s’élever au-dessus de la question si souvent posée: Que suis-je ? pour donner la réponse scientifique: Je suis capable de communiquer la vérité, la santé et le bonheur; cela constitue le rocher de mon salut et ma raison d’exister. »
Un problème de logement s’est réglé de façon merveilleuse il y a bien des années, lorsque j’ai compris que je pouvais me laisser guider par Dieu en toute sécurité. Cette période, d’ailleurs, a été marquée par la confiance et l’inspiration. Quand la question a été réglée, j’ai pu voir nettement que Dieu, le Principe divin, gouverne Sa création en parfaite harmonie.
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