Il y a bien des années, j'ai eu une petite grosseur, sous le talon, qui me causait une douleur insupportable quand je m'appuyais dessus. A ce moment-là, j'étais serveuse et je devais rester debout de six à huit heures par jour. Les gens avec lesquels je travaillais m'ont exprimé leur inquiétude, mais ils savaient tous que j'étudiais la Science Chrétienne et ils respectaient ma décision de surmonter ce problème par la prière.
Cependant, au bout de plusieurs semaines passées à prier toute seule, et voyant que la situation demeurait inchangée, j'ai demandé à une praticienne de la Science Chrétienne de m'aider par la prière. Avec son aide, je me suis efforcée de comprendre que l'identité spirituelle de l'homme n'est jamais touchée par l'inharmonie. Cette phrase de Science et Santé de Mary Baker Eddy (p. 463) est devenue alors très précieuse pour moi: « Une idée spirituelle ne renferme pas un seul élément d'erreur, et cette vérité enlève convenablement tout ce qui est nuisible. » Mais je ne pouvais m'empêcher de guetter sans cesse un changement physique et de me demander si je pourrais jamais marcher de nouveau normalement.
La situation s'est retournée le jour où j'ai lu dans un numéro du Christian Science Sentinel, le témoignage d'un jeune homme qui s'était cassé la jambe en faisant de la luge. Il avait prié et il avait été frappé par ce qu'avait dit Christ Jésus au paralytique de la piscine de Béthesda (Jean 5:8): « Lève-toi... prends ton lit, et marche. » L'homme avait été aussitôt guéri, et le jeune homme à la jambe cassée le fut également.
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